[Clos] Le défi de Pauline

C'était un après-midi comme temps d'autres, je trottais ici et là avec les membres de ma horde, d'un coup je stoppai mon galop et vis un cerf bondir par-dessus la barrière et la cassai. C'est alors que je m'approchai de la barrière avec prudence, tendant l'encolure pour sentir s'il y avait du danger. Rien je marchai lentement puis une foi sur le chemin, je me mis à trotter puis à galopé, je sentais le souffle du vent parcourir mon encolure et le reste du corps, je sentais cette soif de liberté monter en moi.
Le chemin était abrupt et donnait sur une immense plage, je galopais encore plus vite, voyant au loin une forêt côtoyant une prairie qui avait revêtu sa palette de couleurs automnale. Arrivé sur le sable, je sentais le sable ce dérobait sous mes sabots, les grains de sable mélanger à la mer venait éclabousser mon ventre, ce qui me faisait un bien fou. Pris de frénésie par cette liberté, Je me mettais à galoper, tout en faisant des ruades, je m'arrêtai pour me rouler dans le sable. Le soleil était haut dans le ciel bleu, ces rayons venaient chauffer mon corps, je trottai dans les vagues pour me rafraichir, je m'arrêtai pour contempler le large inaccessible, alors que je repris mon galop je tournai en rond tout en entendant un vol de goéland reconnaissable à leur crier aiguë.
Cette liberté fut de courte durée, mon cavalier m'appela tout en agitant un seau pleins de bonne chose et ma course effrénée mon donné faim et puis je l'aime bien ce petit t'homme, je retournai vers lui, il me caressa l'encolure et monta sur le dos et nous nous en retournons aux écuries !

C'était un après-midi comme temps d'autres, je trottais ici et là avec les membres de ma horde, d'un coup je stoppai mon galop et vis un cerf bondir par-dessus la barrière et la cassai. C'est alors que je m'approchai de la barrière avec prudence, tendant l'encolure pour sentir s'il y avait du danger. Rien je marchai lentement puis une foi sur le chemin, je me mis à trotter puis à galopé, je sentais le souffle du vent parcourir mon encolure et le reste du corps, je sentais cette soif de liberté monter en moi.
Le chemin était abrupt et donnait sur une immense plage, je galopais encore plus vite, voyant au loin une forêt côtoyant une prairie qui avait revêtu sa palette de couleurs automnale. Arrivé sur le sable, je sentais le sable ce dérobait sous mes sabots, les grains de sable mélanger à la mer venait éclabousser mon ventre, ce qui me faisait un bien fou. Pris de frénésie par cette liberté, Je me mettais à galoper, tout en faisant des ruades, je m'arrêtai pour me rouler dans le sable. Le soleil était haut dans le ciel bleu, ces rayons venaient chauffer mon corps, je trottai dans les vagues pour me rafraichir, je m'arrêtai pour contempler le large inaccessible, alors que je repris mon galop je tournai en rond tout en entendant un vol de goéland reconnaissable à leur crier aiguë.
Cette liberté fut de courte durée, mon cavalier m'appela tout en agitant un seau pleins de bonne chose et ma course effrénée mon donné faim et puis je l'aime bien ce petit t'homme, je retournai vers lui, il me caressa l'encolure et monta sur le dos et nous nous en retournons aux écuries !