Nous y voici : votre histoire se finit. Quelle aura été la finalité de toutes les mésaventures que vous aurez fait subir à votre protagoniste ? A-t-il réussi à atteindre l'objectif qu'il s'était fixé ? Est-ce son adversaire qui aura le dernier mot ? Au final quel aura été le but de toute cette histoire ?
Vous allez dès à présent répondre à toutes ces questions via la conclusion de votre conte. Peut-être que l’histoire de votre héros ne se finira pas ici mais vous devrez conclure le récit que vous nous avez raconté tout au long de cette compétition. Que la fin soit tragique ou baignée de lumière, elle mettra un fin mot à l'aventure qu'a vécue votre personnage, il faudra donc taper fort. Mais tout ceci vaudra-t-il les sacrifices que votre héros aura pu faire ? A vous de nous le dire.
Mais ce n'est pas tout : nous vous l'avons dis au début du concours, comme tout conte qui se respecte le vôtre doit comporter une morale. Cette dernière devra être l'ultime ligne de votre texte qui conclura en beauté votre conte.
-Vous allez devoir fournir une image de la conclusion de votre histoire.
-Une fois la participation postée elle ne pourra plus être modifiée !
-Comme annoncé lors du lancement du concours, votre histoire devra obligatoirement se conclure par une morale.
-Votre image ne devra pas dépasser les 750px de large mais un lien vers le format original est accepté.
-Vous devrez aussi accompagner votre image d'un texte décrivant la scène.
-Le style du texte est vôtre et vous aurez de nombreuses possibilités de nous raconter votre conte : poésie, narrateur omniscient, langage sms... non peut-être pas ça en fait. Du moins, faites travailler votre imagination ! Sa longueur ne devra cependant pas dépasser les 800 mots.
-Vous pouvez faire appel aux Helpers pour corriger votre texte : ils sont là pour faire disparaître les vilaines fautes qui pourraient entacher la qualité de votre texte.
-L’utilisation de CC et retouches sont autorisées.
-Ce concours est ouvert à toutes les générations du jeu.
-N’hésitez pas à poser toutes les questions qui vous sembleront nécessaires, l'équipe d'animation est là pour vous apporter les réponses.
-Vous aurez jusqu'au 17 septembre 20h, pour poster votre participation. Après quoi un vote sera mis en place.
Peu importe, la situation s'était légèrement améliorée pour Ace et Eva.
« Lève-toi Eva ! ordonna Ace d'une voix rauque. Lève-toi tout de suite et court chercher Victoire. C'est notre seule chance. D'autres vont sûrement venir. »
La jeune fille, fixant inquiète la créature, se releva très lentement. La bête la suivit du regard quelques instants, mais Ace capta son attention en esquissant un pas vers elle, le poignard pointé devant lui.
L'action se passa dans une fragment de seconde. Eva se mit à courir en direction du sous-bois, ce qui provoqua un hurlement intimidant du Wendigo. Il amorça à son tour une attaque, mais Ace le devança.
Le jeune homme fonça droit devant lui, ignorant sa terreur. D'un mouvement aveugle, il assena un coup rapide dans le thorax du monstre.
Ce dernier, totalement désorienté par l'assaut, réussi à planter ses griffes dans l'estomac du jeune garçon, mais bien moins profondément qu'il ne l'aurait souhaité. Un bref sursaut d'orgueil, avant de sentir la mort l'envahir.
L'immense créature difforme s'affaissa lentement, seul la présence du corps d'Ace sous lui évita qu'elle ne s'effondre totalement. Ce dernier lâcha prise, ne pensant même pas récupérer son poignard. Il essuya le sang de son visage d'un coup de manche tout en amorçant un pas pour rejoindre Eva.
Hélas, il ne vit pas l'ombre s'approcher dans son dos. Une main fine lui saisit vigoureusement la nuque et avant qu'il n'ait le temps de répliquer, une lame meurtrière vint s'enfoncer dans l'une des plaies faites par le monstre.
Ace, laissa un maigre cri s'échapper de ses lèvres, avant de s'écrouler sur le sol. Un coup de pied violent le retourna sur le dos et il découvrit le visage familier qui lui faisait face.
« Pou … pourquoi ?! » hoqueta-il en tentant vainement de garder sang et tripes à l'intérieur de son corps.
La femme qui lui faisait face n'était autre que Victoire. Elle le surplombait, le regard glacé, mais dissimulant mal un sourire de satisfaction. Un de ses hommes jeta la tête d'un Wendigo non loin, tandis qu'Ace aperçu Eva, sur l'épaule d'un autre. Inerte.
« Ces monstres n'ont rien d'agressif si on les laisse en paix. Mais putain qu'ils sont coriaces pour défendre leur territoire. Mais laisse mes gars placer quelques charges explosives, et pouf ! même leurs immenses carcasses volent en éclat. »
Victoire s'agenouilla pour essuyer lentement son couteau sur les vêtements du jeune homme. Elle sortit un minerais éblouissant devant le visage du garçon, se gaussant presque de sa trouvaille.
Si Ace avait pu, il aurait ri : des appâts … ils n'avaient été qu'une vulgaire diversion.
« Ne le prends par personnellement, si nous étions tombés sur un camp avant le vôtre, cela aurait été pareil. Pour vivre sur ces terres, la ruse est la plus fiable des méthodes. Mais ça tu le savais déjà. »
Ace tendit le bras pour la saisir. Sa chaussure, un bout de tissu, n'importe quoi pour ne pas rester là et mourir sans rien faire. Mais Victoire se détourna rapidement de lui, et fit mine de regarder derrière elle.
Le deuxième homme de main laissa tomber le corps éteint d'Eva au sol.
Sa gorge remplie de sang, empêcha Ace de parler plus. Seul un gémissement pitoyable accompagné de bile s'échappa.
Eva se trouvait là. Morte. Morte à cause d'un coup de poignard planté en plein cœur.
« Il faut se méfier des apparences, mon garçon, sermonna Victoire avec un léger rictus. Mais j'imagine que ta leçon arrive un peu tard … »
Le petit groupe reparti dans la forêt, laissant les deux adolescents à leur sort.
Ace utilisa ses dernières forces pour se traîner jusqu'à son amie.
Il ne ressentait plus la douleur dans son ventre, ni le sang chaud qui en dégoulinait. Seul le désir de lui tenir la main lui permit d'avancer.
Il voyait de plus en plus trouble. Ses membres répondant moins bien, et le froid l'envahissant presque complètement. Mais il allait y parvenir. Encore un effort. Il n'avait plus qu'a tendre le bras. Encore quelques centimètre et sa main et celle d'Eva seraient réunies.
Encore un peu... Juste encore un peu.
Agatha enfant : Toc, toc, toc...
Agatha âgée : Mais qui est là ?
Agatha adulte : Le loup qui te mangera !
Agatha âgée : Ha, Ha, Ha, Ha, Ha, Ha, Ha !
Agatha enfant : Si, tu le veux vraiment, tu l'auras. Dis-moi ce que tu veux et tu l'obtiendras !
Agatha adulte : Le tournage de "La poupée" a été une véritable... tragédie.
Agatha âgée : Ha, Ha, Ha ! Primo: J'ai beaucoup de mal à parler de moi-même. Que faire ? Je ne peux pas changer ma peau.
Timothée: Mais à qui parle-t-elle docteur ?
Psychiatre : À elle-même. C'est un symptôme psychologique dissociatif appelé la dépersonnalisation. Ce symptôme apparaît souvent comme étant un mécanisme de protection de l'esprit contre une anxiété qu'elle ne peut plus supporter.
Nous avons pu observer que son bras droit était la représentation d'elle enfant et le gauche d'elle adulte. C'est un cas typique de schizophrénie.
Gustave : Oh mon Dieu... Ti qu'avons-nous fait ? Agatha ma petite soeur, je t'en prie, ne nous laisse pas. Agatha ne m'abandonne pas !
Timothée : Calmes-toi Gustave, je t'en prie un peu de pudeur.
Psychiatre : Ne vous rajoutez pas de la peine dans la peine. Vous n'y êtes pour rien.
Timothée : Si, nous sommes coupables, nous l'avons laissé bien trop longtemps toute seule.
Psychiatre : Comment ça ?
Timothée : Agatha vivait recluse chez elle, isolée du monde, elle ne voulait plus nous voir et refusait d'ouvrir à quiconque à part à sa gouvernante.
Psychiatre : Je vois...
Timothée : Elle avait demandé que tous les miroirs soient enlevés, elle vivait dans l'obscurité totale. Elle passait ses journées entières à regarder les films dans lesquels elle avait joué.
Psychiatre : Elle répète souvent que le tournage de "La Poupée" a été une véritable tragédie...
Gustave : C'est le dernier film dans lequel elle a joué. Depuis la mort de notre mère, nous sommes maudits.
Psychiatre : Pourquoi dites-vous cela ? Elle parle souvent de votre mère. Comment est-elle décédée ?
Gustave : C'est au-dessus de mes forces, raconte lui Ti moi je ne peux pas.
Timothée : Notre mère s'est réveillée un matin, a rempli les poches de sa robe avec des pierres et elle s'est jetée dans la rivière qui bordait notre propriété.
Psychiatre : Agatha était-elle présente ?
Timothée : Oui, elle dormait.
Psychiatre : C'est un traumatisme qui a pu effectivement être un déclencheur. Et votre père ?
Gustave : Il est parti, il a refait sa vie nous l'avons jamais revu. Nous avons été élevés par nos grands-parents.
Psychiatre : Il faut que vous soyez fort pour traverser cette épreuve, il faut vous soutenir l'un et l'autre. Mais malheureusement pour Agatha vous ne pouvez plus rien faire.
Gustave : Je ne veux pas l'abandonner, je ne pourrais plus jamais me regarder en face dans un miroir.
Timothée : Viens Gustave, il faut la laisser à présent...
Agatha restait seule, perdue dans ses pensées, passant des rires aux larmes comme une petite fille. Ce mal qui la rongeait ne lui était pas inconnu. Depuis toute petite, elle l'avait déjà pressenti.
Mais le ver était dans le fruit et personne ne pouvait rien y changer, il fallait seulement l'accepter.
Rien ne sert de fuir, nul n'échappe à son destin.
Agatha âgée : Que faire ? Je ne peux pas changer ma peau...
Pourtant, Mô était encore conscient lorsqu’il les aperçut…
Enfant de l’Azur
A jamais ta vie en offrande
A un peuple qui croit aux légendes
Incarnation vénérée des deux mondes
Libérée des peurs les plus profondes
Et des tentations qui ont perverti le bonheur
Sauveur aux yeux bleus, la réponse est dans ton cœur
Enfant de l’Azur,
Tends la main vers notre futur
Aux Fils du Soleil, les Pierres de Feu offrent ce qui a été perdu.
Dernière édition par Caroline le 2016-09-24, 07:58, édité 4 fois
Bonne chance à tout nos conteurs !
Je suis en avance !
Un bruit sourd, tel une grande explosion, coupa court à l'attaque des Wendigos. Au moment où la secousse c'était faite sentir, les créatures s'étaient regardées l'une l'autre. Ace aurait juré voir de l'inquiétude déformée les gueules des Wendigos. De petits gémissements plaintifs survinrent de deux entre eux, avant que ces derniers ne prissent la fuite. Une sombre colonne de fumée s'élevait à présent au-dessus de la forêt, alors que l'on distinguait à peine des pierres assemblées dans une sorte de construction basique. Des hurlements gutturaux et lointains commencèrent à raisonner vers le Nord alors que le vent portait sans peine des odeurs de poudre et de chaire brûlées.
Peu importe, la situation s'était légèrement améliorée pour Ace et Eva.
« Lève-toi Eva ! ordonna Ace d'une voix rauque. Lève-toi tout de suite et court chercher Victoire. C'est notre seule chance. D'autres vont sûrement venir. »
La jeune fille, fixant inquiète la créature, se releva très lentement. La bête la suivit du regard quelques instants, mais Ace capta son attention en esquissant un pas vers elle, le poignard pointé devant lui.
L'action se passa dans une fragment de seconde. Eva se mit à courir en direction du sous-bois, ce qui provoqua un hurlement intimidant du Wendigo. Il amorça à son tour une attaque, mais Ace le devança.
Le jeune homme fonça droit devant lui, ignorant sa terreur. D'un mouvement aveugle, il assena un coup rapide dans le thorax du monstre.
Ce dernier, totalement désorienté par l'assaut, réussi à planter ses griffes dans l'estomac du jeune garçon, mais bien moins profondément qu'il ne l'aurait souhaité. Un bref sursaut d'orgueil, avant de sentir la mort l'envahir.
L'immense créature difforme s'affaissa lentement, seul la présence du corps d'Ace sous lui évita qu'elle ne s'effondre totalement. Ce dernier lâcha prise, ne pensant même pas récupérer son poignard. Il essuya le sang de son visage d'un coup de manche tout en amorçant un pas pour rejoindre Eva.
Hélas, il ne vit pas l'ombre s'approcher dans son dos. Une main fine lui saisit vigoureusement la nuque et avant qu'il n'ait le temps de répliquer, une lame meurtrière vint s'enfoncer dans l'une des plaies faites par le monstre.
Ace, laissa un maigre cri s'échapper de ses lèvres, avant de s'écrouler sur le sol. Un coup de pied violent le retourna sur le dos et il découvrit le visage familier qui lui faisait face.
« Pou … pourquoi ?! » hoqueta-il en tentant vainement de garder sang et tripes à l'intérieur de son corps.
La femme qui lui faisait face n'était autre que Victoire. Elle le surplombait, le regard glacé, mais dissimulant mal un sourire de satisfaction. Un de ses hommes jeta la tête d'un Wendigo non loin, tandis qu'Ace aperçu Eva, sur l'épaule d'un autre. Inerte.
« Ces monstres n'ont rien d'agressif si on les laisse en paix. Mais putain qu'ils sont coriaces pour défendre leur territoire. Mais laisse mes gars placer quelques charges explosives, et pouf ! même leurs immenses carcasses volent en éclat. »
Victoire s'agenouilla pour essuyer lentement son couteau sur les vêtements du jeune homme. Elle sortit un minerais éblouissant devant le visage du garçon, se gaussant presque de sa trouvaille.
Si Ace avait pu, il aurait ri : des appâts … ils n'avaient été qu'une vulgaire diversion.
« Ne le prends par personnellement, si nous étions tombés sur un camp avant le vôtre, cela aurait été pareil. Pour vivre sur ces terres, la ruse est la plus fiable des méthodes. Mais ça tu le savais déjà. »
Ace tendit le bras pour la saisir. Sa chaussure, un bout de tissu, n'importe quoi pour ne pas rester là et mourir sans rien faire. Mais Victoire se détourna rapidement de lui, et fit mine de regarder derrière elle.
Le deuxième homme de main laissa tomber le corps éteint d'Eva au sol.
Sa gorge remplie de sang, empêcha Ace de parler plus. Seul un gémissement pitoyable accompagné de bile s'échappa.
Eva se trouvait là. Morte. Morte à cause d'un coup de poignard planté en plein cœur.
« Il faut se méfier des apparences, mon garçon, sermonna Victoire avec un léger rictus. Mais j'imagine que ta leçon arrive un peu tard … »
Le petit groupe reparti dans la forêt, laissant les deux adolescents à leur sort.
Ace utilisa ses dernières forces pour se traîner jusqu'à son amie.
Il ne ressentait plus la douleur dans son ventre, ni le sang chaud qui en dégoulinait. Seul le désir de lui tenir la main lui permit d'avancer.
Il voyait de plus en plus trouble. Ses membres répondant moins bien, et le froid l'envahissant presque complètement. Mais il allait y parvenir. Encore un effort. Il n'avait plus qu'a tendre le bras. Encore quelques centimètre et sa main et celle d'Eva seraient réunies.
Merci Time c'est tout bon
Rohhh ça craint je n'ai pas commencé
Moi non plus, ça arrivera samedi soir. Je fais de très grosses journées cette semaine...
On pourra toujours vous accorder une petite rallonge d'une journée si nécessaire.
Je suis preneuse par sécurité même si je compte bien poster samedi. Merci
Ouf j'ai eu peur de voir ta participation et d'être le dernier Le texte de mon côté est terminé, les poses aussi...manque le reste
This is the end, beautiful friend
Agatha enfant : Toc, toc, toc...
Agatha âgée : Mais qui est là ?
Agatha adulte : Le loup qui te mangera !
Agatha âgée : Ha, Ha, Ha, Ha, Ha, Ha, Ha !
Agatha enfant : Si, tu le veux vraiment, tu l'auras. Dis-moi ce que tu veux et tu l'obtiendras !
Agatha adulte : Le tournage de "La poupée" a été une véritable... tragédie.
Agatha âgée : Ha, Ha, Ha ! Primo: J'ai beaucoup de mal à parler de moi-même. Que faire ? Je ne peux pas changer ma peau.
Timothée: Mais à qui parle-t-elle docteur ?
Psychiatre : À elle-même. C'est un symptôme psychologique dissociatif appelé la dépersonnalisation. Ce symptôme apparaît souvent comme étant un mécanisme de protection de l'esprit contre une anxiété qu'elle ne peut plus supporter.
Nous avons pu observer que son bras droit était la représentation d'elle enfant et le gauche d'elle adulte. C'est un cas typique de schizophrénie.
Gustave : Oh mon Dieu... Ti qu'avons-nous fait ? Agatha ma petite soeur, je t'en prie, ne nous laisse pas. Agatha ne m'abandonne pas !
Timothée : Calme-toi Gustave, je t'en prie un peu de pudeur.
Psychiatre : Ne vous rajoutez pas de la peine dans la peine. Vous n'y êtes pour rien.
Timothée : Si, nous sommes coupables, nous l'avons laissé bien trop longtemps toute seule.
Psychiatre : Comment ça ?
Timothée : Agatha vivait recluse chez elle, isolée du monde, elle ne voulait plus nous voir et refusait d'ouvrir à quiconque à part à sa gouvernante.
Psychiatre : Je vois...
Timothée : Elle avait demandé que tous les miroirs soient enlevés, elle vivait dans l'obscurité totale. Elle passait ses journées entières à regarder les films dans lesquels elle avait joué.
Psychiatre : Elle répète souvent que le tournage de "La Poupée" a été une véritable tragédie...
Gustave : C'est le dernier film dans lequel elle a joué. Depuis la mort de notre mère, nous sommes maudits.
Psychiatre : Pourquoi dites-vous cela ? Elle parle souvent de votre mère. Comment est-elle décédée ?
Gustave : C'est au-dessus de mes forces, raconte lui Ti moi je ne peux pas.
Timothée : Notre mère s'est réveillée un matin, a rempli les poches de sa robe avec des pierres et elle s'est jetée dans la rivière qui bordait notre propriété.
Psychiatre : Agatha était-elle présente ?
Timothée : Oui, elle dormait.
Psychiatre : C'est un traumatisme qui a pu effectivement être un déclencheur. Et votre père ?
Gustave : Il est parti, il a refait sa vie nous l'avons jamais revu. Nous avons été élevés par nos grands-parents.
Psychiatre : Il faut que vous soyez fort pour traverser cette épreuve, il faut vous soutenir l'un et l'autre. Mais malheureusement pour Agatha vous ne pouvez plus rien faire.
Gustave : Je ne veux pas l'abandonner, je ne pourrais plus jamais me regarder en face dans un miroir.
Timothée : Viens Gustave, il faut la laisser à présent...
Agatha restait seule, perdue dans ses pensées, passant des rires aux larmes comme une petite fille. Ce mal qui la rongeait ne lui était pas inconnu. Depuis toute petite, elle l'avait déjà pressenti.
Mais le ver était dans le fruit et personne ne pouvait rien y changer, il fallait seulement l'accepter.
Rien ne sert de fuir, nul n'échappe à son destin.
Agatha âgée : Que faire ? Je ne peux pas changer ma peau...
Dernière édition par Will le 2016-09-16, 13:57, édité 1 fois
merci Will
Dis nous si tu as besoin de la rallonge Sucre.
@Sucréomiel a écrit:
Je suis preneuse par sécurité même si je compte bien poster samedi. Merci
Même si finalement j'arriverai à poster avant 20h.
Ok donc au cas où tu as une rallonge jusqu'à demain soir 20h.
Muchas gracias.
Voilà l'ultime étape des aventures de Mô :
Pourtant, Mô était encore conscient lorsqu’il les aperçut…
A jamais ta vie en offrande
A un peuple qui croit aux légendes
Incarnation vénérée des deux mondes
Libérée des peurs les plus profondes
Et des tentations qui ont perverti le bonheur
Sauveur aux yeux bleus, la réponse est dans ton cœur
Enfant de l’Azur,
Tends la main vers notre futur
Aux Fils du Soleil, les Pierres de Feu offrent ce qui a été perdu.
Pffiou c'est déjà la fin, la boucle est bouclée. Je tiens à dire que j'ai pris énormément de plaisir à participer à ce concours : élaborer une histoire du commencement à sa résolution, repousser les limites du jeu et découvrir l'imaginaire des copains.
Merci Sucrée.
Bon ben du coup t'auras pas eu besoin de la rallonge.
On se donne rendez-vous dès demain pour les votes !
Respect du thème : /1
Est-ce que la participation a respecté le thème et ses contraintes ?
Qualité de l'image : /3
L'image est-elle graphiquement de bonne qualité et agréable à regarder ?
Mise en scène : /2
La mise en scène vous semble-t-elle intéressante et pertinente ?
Cohérence du texte : /2
Le texte accompagne-t-il bien l'image, arrive-t-il à bien vous faire rentrer dans l'histioire ?
Originalité : /2
Je ne pense pas avoir besoin de développer.
Code:
[u]Respect du thème :[/u] /1
[u]Qualité de l'image :[/u] /3
[u]Mise en scène :[/u] /2
[u]Cohérence du texte :[/u] /2
[u]Originalité :[/u] /2
[u]Total :[/u] /10
Qualité de l'image : 1,5/3
Mise en scène : 1,5/2
Cohérence du texte : 2/2
Originalité : 2/2
Total : 7,5/10
Je vais le dire: je m'y attendais pas. Genre vraiment pas. Je m'attendais à ce qu'ils meurent oui mais tellement pas de cette façon. C'est complètement injuste mais super bien emmené et je pense qu'avec le premier chapitre, ton épilogue aura été la meilleure partie de ton histoire et c'est un bon point car tu as réussi à marquer les esprits. Par contre niveau respect du thème où est la morale ? J'en vois une (enfin peut être) mais pas en phrase finale du conte... La mise en scène est simple mais je trouve efficace quoiqu'un chouïa vide, j'aurais aimé par exemple voir le groupe de traites partir dans le fond pour meubler un peu bien que l'idée de faire un plan large puis rapproché des deux mains enlacées (ou non là est toute la tragédie) est judicieuse. Niveau retouche tu as été moins ambitieuse mais je pense que c'est mieux. Du coup l'image ne va pas nous marquer graphiquement même s'il y a de bonnes initiatives qui restent peut être encore à perfectionner (je pense que tu as ajouté une partie de l'herbe dans le fond, on passe un peu abruptement d'un champ à de la terre au dessus de la tête de Ace).
Qualité de l'image : 3/3
Mise en scène : 1,5/2
Cohérence du texte : 1/2
Originalité : 2/2
Total : 8,5/10
Alors autant je sentais qu'elle allait devenir folle autant ça m'a surprise de la voir plus âgée. Et surtout je ne l'imaginais pas victime de ce genre là de folie, tiraillée entre son elle enfant et sa version adulte. Je regrette juste peut être un peu la révélation du suicide de la mère que je trouve un tout petit peu abrupte, c'est peut être tout simplement tout le dialogue médecin/jumeaux qui semble un peu froid (je parle pour la forme non sur le fond). Autant sur les autres étapes le style d'écriture me plaisait beaucoup autant sur ce thème final je pense que ça manque un peu de chaleur. Par contre je suis agréablement surprise de revoir les deux frères d'Agatha et qu'on sent que toute cette histoire va aussi avoir une incidence sur le vie du moins pour Gustave. Pour l'image en elle-même, l'expression d'Agatha est parfaite et l'incrustation de ces deux "elles" est impeccable. Tu as encore une fois choisi d'apporter une dominance de couleur ce qui me plait toujours autant, surtout que ce bleu correspond très bien à l'atmosphère de la scène. Je regrette juste le positionnement des deux frères, les voir aussi éloigné l'un de l'autre m'embête un peu on a un peu trop l'impression qu'ils servent chacun à boucher les trous. Pour la contrainte je pense que tu la respectes.
Qualité de l'image : 3/3
Mise en scène : 1/2
Cohérence du texte : 2/2
Originalité : 2/2
Total : 8,5/10
Tout d'abord comme ta copine Time je suis pas certaine que tu aies respecté la contrainte: où elle est la moraaaale ?Ensuite tu l'avais dis toi-même tu avais mis la barre super haute sur les précédentes étapes du coup je reste un peu sur ma faim pour cette finale. L'image est belle et très bien réalisée mais je la trouve beaucoup moins puissante que celles des autres étapes. Il me manque ce je ne sais quoi qui me fait dire "wow". Du coup c'est pas le côté graphique qui m'impressionne moins mais plutôt la mise en scène. En ce qui concerne l'image en elle-même oui bon là ça claque sa mère. Le texte reste très ouvert à l'interprétation mais si j'ai bien compris, la version enfant de Mô que tu nous as présenté lors des inscriptions n'est pas une image de son passé mais en fait de son présent ? A moins que j'ai vraiment rien compris ce qui est tout à fait possible me connaissant. Du coup si j'avoue être quelque peu déçue par l'image le conte en lui-même m'intéresse toujours autant et j'ai aimé sa conclusion.
Merci pour le retour Lady. Effectivement la moral ne conclu pas "texto" le récit, mais je pensais que l'on n'était pas obliger de l'expliciter autant.
En tout les cas ce concours m'a rendu confiance dans mes idées de récit et je pense me remettre à écrire très prochainement, dans cet univers mais dans un temporalité différente.
Merci Lady entièrement d'accord avec tes remarques, au début le positionnement des frangins était plus resserré mais ça faisait fouillis avec les fondus Pour l'histoire aussi mais je ne voulais pas m'étaler et tomber dans la sensiblerie mais je donnerais plus en détails le pourquoi du comment, je ne voudrais pas influencer les votes il y a plein de clin d'oeil dans cette participation
Time, Sucré je commenterais vos créas en même temps
Si si y a une morale implicite. Mais si tu ne l'as pas comprise, la faute m'en incombe. Je développerai dans ma galerie le moment venu. Pour le reste, je suis d'accord avec toi.
Merci merci d'avoir pris le temps de commenter.
N'hésitez pas à venir laisser un petit mot, vous aurez droit à des bisous !
TimeoLess
Respect du thème : 0.5/1
Qualité de l'image : 1.5/3
Mise en scène : 1.5/2
Cohérence du texte : 2/2
Originalité : 2/2
Total : 7.5/10
Will
Respect du thème : 1/1
Qualité de l'image : 2/3
Mise en scène : 2/2
Cohérence du texte : 2/2
Originalité : 2/2
Total : 9/10
Sucréomiel
Respect du thème : 0,5/1
Qualité de l'image : 2/3
Mise en scène : 2/2
Cohérence du texte : 2/2
Originalité : 2/2
Total : 8,5/10
Venez vous aussi aussi voter, c'est important pour élire notre meilleur conte ! Les candidats se sont donnés à fond jusqu'à la finale, récompensez-les en donnant votre avis.