[Abandonné]Texte de KieleMahina-Jeanne d'Arc

Chapitre 1 : Souvenirs

- Y'a rien de plus ennuyeux que des séances souvenirs de familles... dis-je en feuilletant les pages jaunies de l'album de la famille.
- Voyons, ne dis pas ça, Aria.tenta ma mère.
- C'est sûr que regarder plein de photos de nous en train de faire des grimace est la meilleure occupation au monde.
- Si tu n'es pas contente, eh bien va dans ta chambre !
Avec joie, je rejoignis ma petite chambre toute triste. Et quand je dis toute triste, ça l'est vraiment: murs blancs avec collés dessus quelques photos de moi et de Daniel, un lit noir et un bureau en ébène.Je sortis mon tout nouvel I phone 5 pour rassurer Daniel et lui dire que j'étais encore vivante. A vrai dire, je suis malade. Pas quelques éternuements mais une maladie très rare: La confusion.  Je vous vois bien vous dire, "mais la confusion, c'est un sentiment!". Et bien non. Une très grave maladie qui m'insupporte.En fait, dès qu'une nouvelle triste ou quelque chose de grave arrive, mon cerveau est embrouillé - allez savoir pourquoi- et un terrible mal de tête mortel arrive. Voilà, vous savez.
- Ma chérie, ça va ?
-Oui Daniel, tu me manques.
- Toi aussi, et y'a un petit gars qui m’énerve grave, là.
- Bon, tout le monde sais que tu es très fort, mais pas la peine d'en tuer un autre.
- J'aime pas parler de ça. Et puis, pas si fort que ça, attends, je t'envoie un photo de moi:
- Mais t'es canon...
- Bon, allez, maintenant que je sais que t'es vivante et que t m'aimes encore, j'te laisse.
Et sur ce, il raccrocha.
Bon, il est l'heure de prendre ma douche.

- Eh, toi ! T'es jolie...
- QUOI? QU EST CE QUE?...
- Je suis là...
- MAIS T'ES QUI TOI ?
- Quelqu'un que tu reverras....
Très contrariée, je sortis de mon agréable bain écourté par un imbécile, et je pris soin de mettre un peignoir.
N'ayant pas très faim, je me décidai donc à dormir.

Chapitre 1: Fuite et échange de vie

Moi, je m’appelle Jeanne D'anq. Et tous mes copains se moquent de moi. Pff, de stupides imbéciles. J'ai 9 ans. Oh, attendez, on m'appelle.
- Jeaaaaaaaaaaaaaaanne ! Tu viens mangeeeeer ?!
- J'arrive !
Même si je déteste les repas de familles, je vais pas me laisser crever de faim.
Arrivée en bas des escaliers, à table, je vis mon pire cauchemar: Une cloche et une croix. nJ'échangeai un regard effrayé avec ma sœur, Kat.
- C'est quoi ce bin's ? demanda Kat.
- C'est le remerciement qu'on donne à dieu.
- Nan mais vous êtes dingues ! Au début c'était juste un "Merci" que vous disiez, dans l'air, en plus ! Maintenant, vous avez carrément dévalisé le clocher ! Non mais moi je supporte plus, hein, j'me barre !
- Non, Katrine, Jeanne, où irez-vous !
- Loin de toi ! lâchai-je devant ma mère en pleurs.
Non mais c'est vrai où on va aller? Je sais, chez ma meilleure amie ! Non, ma sœur à 25 ans, quand même. Bon, j'ai qu'a marché devant moi, mais on a intérêt à trouver de la bouffe.
- Eh, Kat, t'as emporté la tartelette au chocolat ?
- Kat?
- Eh mais où t'es là, c'est pas drôle !  
Je regardai devant moi, non. Derrière moi, non plus. A côté, nan. Je me souviens avoir entendu des pas derrière.
- AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHH !!!
C'était quoi, ce cri ? courir, même si je sais pas pourquoi ! Aie, une ronce dans le mollet ouille, une branche dans la caboche, aouch, une épée dans l'épaule!
Une épée dans l'épaule ? Mais...mais... mais qui utilise encore des épées en 2013 ?
Ah nan mais ça fait vraiment mal.... Bon, le conseil du père de ma meilleure amie, " Ne jamais retirer quelque chose enfoncé dans le corps, risque d’hémorragie."
Ouf, une maison. Éclairée. Des ries d'hommes. ça doit être une auberge.
Je regarde par la fenêtre.
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- AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHH !!!
- Ka...Kat...Katriine !
- Non, arrêtez, c'est horrible,  pas elle, non....
Des hommes sortirent de "l'auberge". Je me cachai. En fait pas besoin. J'étais évanouie. Dans la nuit. Dans l'herbe. Dans la tristesse.

Chapitre 2: La guerre

- Vous ne devriez pas écouter cette....Je me retiens de le dire.
- Tu es certes mon conseiller, mais ma belle-mère compte plus à mes yeux que vous.
- Bien. Combien de personnes comptez-vous inviter à la cérémonie ?
- Nous verrons cela après.
Je savais qu'ils parlaient de ça. IL me l'a dit. IL m'a aussi dit de me présenter. Je me nomme Jeanne d'Arc et je suis, mais je ne le serais plus, une paysanne. J'ai 16 ans. Je dois venger ma sœur. Je déteste les Anglais. Avec sa volonté, je vais tous les exterminer. Pour l'instant, j'ai juste envoyé une lettre au Dauphin. Il va me recevoir, si il le veut bien. Voici ma lettre :
" Bien le bonjour, Mon seigneur. Je voudrais vous voir pour vous parler de la guerre que nous allons déclarer à Orléans. Je sais que nous allons réussir, j'attends votre réponse, Jeanne d'Arc. Ayant confiance en moi. ET surtout en LUI."
Je vais aller au palais, demain. J'ai hâte.

- Jeanne, réveille-toi!
Oh non, j'entends encore sa voix. Je fondis en larmes. Catherine....Je te vengerai...Ils vont tous périr....
Je m'habillai donc avec mes vêtements d'hier et je montais dans le char. Direction le palais. Personne ne va être là, juste lui et moi. Je dois aller confesser.
- Arrêtez-vous !
- Où allez- vous ?
Je ne lui répondis pas.

Après avoir fini, j'arrivai au palais.

Musique

Tous ces gens, ils me dévisageaient. Certains m'appelaient la p... Bon sang, je suis la messagère de Dieu!
- Bonjour Jeanne.
Je me tournai vers la voix qui m'avait dit ça. L'homme était jeune, brun, blanc. Ce n'était pas lui. Sûre.
- Où-est-il ?
- Hum...
- Dites-moi.
- Eh bien cherchez-le !
Je m’exécutais. Je regardai attentivement chaque personne.
Je peux vous dire qu'il y en avait un millier, je crois, je ne sais pas compter. Quand soudain, un homme assez âgé voulut s'éloigner, reculer, il était roux, et c’était lui. Devant lui, des gardes. Je courais vers lui. Les  gardes me mirent une épée à un millimètre de mon cou. Certains me saisirent pas mes longs cheveux blonds. Mes yeux bleu étaient en admiration, et mes sourcils étaient froncés, à cause de la douleur. J'entendis un:
- Laissez-la.
Je m'avançai, et, brusquement, je me baissai et l'entourai de mes longs bras. Il eut un geste de recul. Je murmurai:
- Mon sauveur, je vous aime.
Il dit:
- Je...je vais lui parler. Nous deux, seuls.
Il me prit par le bras, et m'entraîna dans une pièce obscure éclairée par des bougies.
- Vous voulez la victoire, c'est ça ?
- Oui, mon seigneur.
- Savez vous comment faire avec un cheval ?
- Non.
- Savez- vous manier l'épée ?
- Non.
- Savez-vous diriger une armée ?
- Non.
- De combien d'hommes avez-vous besoin ?
- De plus de 5500 hommes.
- Bien. Vous les aurez. Demain.
- Merci, mon sauveur.
- Derien. Tenez vous prêtes.
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La suite après !