heureux et eurent beaucoup d'enfants... ? séparés et malheureux à jamais... ?
Hé oui. Le temps file tel le vent pendant une tempête de neige. Il est déjà temps pour vous de nous raconter la conclusion de cette grande passion qui vous a uni durant ce salon de l'amour. Votre belle-famille a-t-elle eu raison de votre histoire ? Vivez-vous toujours heureux et frais comme au premier jour ? Avez-vous vécu quelque chose de magnifique qui a malencontreusement pris fin ? Avez-vous finalement 15 bambins à élever ?
Telle une fin de conte de fée, de film à l'eau de rose ou au contraire de film dramatique, il va falloir trancher sur une fin, ou plutôt un dénouement à votre histoire. Il ne tient qu'à vous de décider de l'avenir de votre couple de St Valentin, et quel que soit votre décision : on veut tout savoir ! Expliquez nous votre destin amoureux à l'aide d'une image et d'un texte !
C'est parti : à vos souris & claviers, nous attendons la fin de vos belles idylles tels les téléspectateurs de l'Amour est dans le Pré au moment du bilan !
• Vous devez nous donner le déroulement de votre histoire d'amour
• Pour cela, vous devrez, par couple, poster une image ainsi qu'un texte
• Vous devez poster votre participation dans ce sujet
• L'image devra faire maximum 750px de largeur
• Le texte devra faire maximum 500 mots
• Vous avez jusqu'au 25/02/2018 à minuit pour participer
• Après cela un vote sera lancé pour déterminer les gagnants
• Les couples participants gagnent 4 points et les gagnants 10 points
Elle se plaignait que notre relation devenait par trop routinière. Je ne peux la blâmer, ma « vie » est ainsi faite. Depuis ce jour où l’on a maudit mon existence… En plus de deux cents ans, il m’est arrivé de vouloir en finir, mais, cette envie de vivre qui est ancrée dans mes chairs m’a toujours sauvé, comme si mon destin refusait de m’envoyer de l’autre côté. J’en ai donc fait mon parti, et je ne le regrette pas, cette incroyable créature qui a débarqué dans ma vie est un cadeau du « ciel ». Dès que je connus sa condition de vampire, une idée germât.
Alors, subrepticement, je prenais des renseignements sur ses conditions de « vie » parmi les ombres. Au début, cela la flattait que l’on s’y intéressât, mais, sans doute eut-elle deviner mes intentions, elle refusât de m’en dire davantage.
Je fus anéanti ! Pourquoi ce refus ? M’aimait-elle vraiment ou ne fus-je qu’un parmi d’autres ? Ma jalousie s’exacerbait, je devenais renfrogné, nos discussions s’envenimaient jusqu’à ce qu’un soir, n’en pouvant plus, elle décida de ne plus me voir.
Ne voulant rien céder, je lui envoyai missive sur missive, sans réponse. Je désirais tant pouvoir parcourir le monde à ses côtés, lui faire découvrir des contrées qu’elle n’a jamais connu...
Je savais pourtant que notre amour était plus fort. Alors, dans une tentative désespérée, je mis mon plan en route. Je laissai des instructions à Joséphine, et attendis le soir.
Un hennissement me prévint de l’arrivée de ma calèche. J’ouvris la porte, et, transpirant, une boule au ventre, je pris ma respiration et me précipitai vers le cocher. Je lui indiquai une adresse en lui demandant de se hâter quoiqu’il advienne. A peine eus-je pris place que je sentais déjà une forte douleur dans la poitrine. Luttant de toutes mes forces, je retenais mes cris, me tordant de douleur. Je me raccrochai à cet infime espoir qu’elle accepte de faire de moi son égal et que cela mettrait fin à cette malédiction. Dans un dernier souffle, je criai “ Plus vite ” à mon cocher inquiet.
J’espérai que mon hôte fut présente. Ne voyant plus rien, entendant à peine, je sentis juste des bras fermes me soulever et me transporter. On déposa mon corps, ou ma dépouille, je ne le savais pas à cet instant, car tout n’était plus que néant.
Puis, je ressentis un afflux d’énergie, un regain de vitalité, mais différente de ce que je connaissais. Le son revint et la lumière sourdît à travers mes paupières fermées. De mes yeux ouverts j’aperçus faiblement une silhouette floue penchée au-dessus de moi. Puis les contours se firent plus nets et je la vis, ma dulcinée, celle pour qui je risquai ma vie. Je sus à cet instant qu’elle tenait à moi, le filet sanguinolent à la commissure de ses lèvres soyeuses en attestait, cependant que son regard dur et vindicatif m’indiquait que j’allais subir la plus épique des remontrances...
Pour Isis et moi, c’était plutôt deux gouttes de pluie, qui partent du même nuage, tombant chacune sur un versant de la montagne pour s’écouler dans deux rivières différentes mais pour se rejoindre finalement dans le même océan.
Nous nous sommes séparées quelques années plus tard, notre relation n’a duré qu’une décennie. Elle voulait des enfants et moi mon indépendance, et nous avons eu chacune ce que l’on voulait. Il nous arrivait encore de nous écrire pour nous souhaiter la bonne année, nous avions peur de nous parler, ainsi nous choisissions bien nos mots pour exprimer notre amitié.
Isis avait sa famille, et moi des chats, je n’ai jamais réussi dans les relations à long terme, elle me manquait. Ce n’est que plus tard, bien après la mort de son mari et que ses deux fils aient fait leurs vies que nous avons fini par nous revoir. Nous nous sommes pardonnées nos erreurs, et malgré nos cheveux blancs nous n’avions pas tant changé que ça dans nos cœurs.
J’étais seule, elle aussi, nous avions décidé de revivre ensemble, la vie était plus douce. On n’y voyait plus très bien mais c’était comme si toutes les couleurs étaient ravivées, ou étaient-ce les pilules contre le diabète ? Autant mes guiboles ne pouvaient plus me porter depuis belle lurette, autant ma douce Isis était devenue sourde comme un pot ! Les piles pour son appareil auditif ne durent pas très longtemps, on en a eu des fou-rires pour des quiproquos. Elle a essayé de m’apprendre le tricot, je n’ai jamais réussi à faire une maille ! Ses goûts pour les séries ont évolué, fort heureusement, mais on se surprend à rigoler devant les jeux télé. Ils sont si bêtes ces candidats, à notre époque nous étions mieux instruits et moins dépendants des machines. J’ai horreur quand des affaires trainent par terre maintenant, j’aime quand flotte une bonne odeur de cire dans le salon. Après avoir bu notre camomille au goûter, tous les jours quel que soit le temps nous sortons main dans la main dans le parc pour regarder les amoureux et les enfants, ça nous revigore.
Mais depuis quelques mois, on m’a diagnostiqué Alzheimer, faut dire que je planquais sans raison les yaourts dans la table de nuit. Isis veille sur moi mais je sens qu’elle s’inquiète. Cela fait bien longtemps qu’on a arrêté les galipettes mais nous tenons tellement l’une à l’autre. Nous essayons au maximum de retarder l’échéance de devoir partir en maison de retraite. Nous avons mis des années à vivre ensemble, ce n’est pas maintenant qu’on va nous séparer ! Je serai toujours reconnaissante envers elle de m’avoir autant épaulée. Ses fils ont fini par accepter notre relation et il nous arrive de nous retrouver ensemble pour les fêtes avec les petits-enfants. Heureusement pour feu-Hélène, le flambeau des pulls qui grattent à Noël a été repris, mais Isis fait des motifs nettement plus jolis.
Elle ne veut pas d'ortie, ni de ronce. Aaron l'emmena donc camper dans un coin avec des cerisiers, des chênes des fleurs qui sentent bon le printemps, même les oiseaux sont de la partie ça chante, ça virevolte au plus grand plaisir de Jessie qui s'empressa d'embrasser son tendre Aaron.
Ils installèrent leurs campements et pique-niquèrent sous un cerisier c'est à ce moment-là que Jessie annonça à Aaron qu'ils allaient bientôt être trois ou quatre si ce sont des jumeaux.
À cette annonce Aaron laissa éclater sa joie qui pouvait se lire sur son visage et son attitude!
Nous pouvions lire sur les visages des deux jeunes gens la joie qu'apporta cette nouvelle fabuleuse.
Jessie ajouta, il va me falloir une nouvelle garde-robe ... Tous que tu veux ma douce répondit Aaron... puis des affaires pour les bébés ... et ça chambre ajouta Aaron.
Les semaines qui suivirent Aaron accompagnèrent tout naturellement Jessie qu'il aimait plus que jamais faire les boutiques, il la conduit à faire les magasins, portant les sacs, s'arrêtèrent prendre un encas car faire les magasins ça creuse. Puis ils reprirent la course aux magasins... tien Jessie nous n'avons pas fait cette boutique... à son dur comme ça durant toute la grossesse.
donc faut raconter si malgré "odieux personnage" on est toujours ensemble ou pas ?
Ahem, vous pouvez reculer cette date parce que ça tombe en même temps que les beaux parents ?
Même demande que mvdd pour les beaux parents ?
Le but de cette date est de terminer les animations à la fin du mois de Février, déjà qu’il n’y a que 2 jours pour voter actuellement, Février étant par définition plus court. On va essayer de voir en orange.
Et oui du coup Nib, tu racontes la fin de l’histoire ou tout du moins ce qu’il en est aujourd’hui.
Je ne sais pas si là on fait chacun un texte+image ou si un partenaire fait 1 image et l'autre le texte.
Nib, il est fait mention "par couple", donc, je pense que c'est "une image + un texte" par couple et pas par personne
Hoping it has helped...
C'est tout à fait ça
Pour les dates désolé mais on ne pourra les modifier, l'animation complète doit se finir à la fin du mois. On avait lancé ces défis à des dates différentes pour que vous puissiez les commencer plus tôt si besoin et on ne peut pas décaler la date de fin comme je disais pour garder une période de votes correcte.
:/ c'est juste qu'on doit rendre 2 concours en même temps, j'ai mes articles à faire et ce weekend je suis absente.
Malheureusement on ne peut pas modifier le planning, pleins d'autres choses arrivent par la suite, et c'est déjà très serré.
Après vous n'êtes pas obligé de tout faire, certes vous pouvez cumuler plus de points, mais il faut faire en fonction de votre planning.
Oui mais pour les beaux yeux de ma douce je dois lui décrocher les points
Bon. Heureusement que notre tandem fonctionne, aujourd'hui j'ai battu mon record d'avoir travaillé sur 3 étapes en moins de 12h.
Notre participation :
Elle se plaignait que notre relation devenait par trop routinière. Je ne peux la blâmer, ma « vie » est ainsi faite. Depuis ce jour où l’on a maudit mon existence… En plus de deux cents ans, il m’est arrivé de vouloir en finir, mais, cette envie de vivre qui est ancrée dans mes chairs m’a toujours sauvé, comme si mon destin refusait de m’envoyer de l’autre côté. J’en ai donc fait mon parti, et je ne le regrette pas, cette incroyable créature qui a débarqué dans ma vie est un cadeau du « ciel ». Dès que je connus sa condition de vampire, une idée germât.
Alors, subrepticement, je prenais des renseignements sur ses conditions de « vie » parmi les ombres. Au début, cela la flattait que l’on s’y intéressât, mais, sans doute eut-elle deviner mes intentions, elle refusât de m’en dire davantage.
Je fus anéanti ! Pourquoi ce refus ? M’aimait-elle vraiment ou ne fus-je qu’un parmi d’autres ? Ma jalousie s’exacerbait, je devenais renfrogné, nos discussions s’envenimaient jusqu’à ce qu’un soir, n’en pouvant plus, elle décida de ne plus me voir.
Ne voulant rien céder, je lui envoyai missive sur missive, sans réponse. Je désirais tant pouvoir parcourir le monde à ses côtés, lui faire découvrir des contrées qu’elle n’a jamais connu...
Je savais pourtant que notre amour était plus fort. Alors, dans une tentative désespérée, je mis mon plan en route. Je laissai des instructions à Joséphine, et attendis le soir.
Un hennissement me prévint de l’arrivée de ma calèche. J’ouvris la porte, et, transpirant, une boule au ventre, je pris ma respiration et me précipitai vers le cocher. Je lui indiquai une adresse en lui demandant de se hâter quoiqu’il advienne. A peine eus-je pris place que je sentais déjà une forte douleur dans la poitrine. Luttant de toutes mes forces, je retenais mes cris, me tordant de douleur. Je me raccrochai à cet infime espoir qu’elle accepte de faire de moi son égal et que cela mettrait fin à cette malédiction. Dans un dernier souffle, je criai “ Plus vite ” à mon cocher inquiet.
J’espérai que mon hôte fut présente. Ne voyant plus rien, entendant à peine, je sentis juste des bras fermes me soulever et me transporter. On déposa mon corps, ou ma dépouille, je ne le savais pas à cet instant, car tout n’était plus que néant.
Puis, je ressentis un afflux d’énergie, un regain de vitalité, mais différente de ce que je connaissais. Le son revint et la lumière sourdît à travers mes paupières fermées. De mes yeux ouverts j’aperçus faiblement une silhouette floue penchée au-dessus de moi. Puis les contours se firent plus nets et je la vis, ma dulcinée, celle pour qui je risquai ma vie. Je sus à cet instant qu’elle tenait à moi, le filet sanguinolent à la commissure de ses lèvres soyeuses en attestait, cependant que son regard dur et vindicatif m’indiquait que j’allais subir la plus épique des remontrances...
Vous voulez la fin ? La voilà ! (Nib au texte et moi à l'image)
Pour Isis et moi, c’était plutôt deux gouttes de pluie, qui partent du même nuage, tombant chacune sur un versant de la montagne pour s’écouler dans deux rivières différentes mais pour se rejoindre finalement dans le même océan.
Nous nous sommes séparées quelques années plus tard, notre relation n’a duré qu’une décennie. Elle voulait des enfants et moi mon indépendance, et nous avons eu chacune ce que l’on voulait. Il nous arrivait encore de nous écrire pour nous souhaiter la bonne année, nous avions peur de nous parler, ainsi nous choisissions bien nos mots pour exprimer notre amitié.
Isis avait sa famille, et moi des chats, je n’ai jamais réussi dans les relations à long terme, elle me manquait. Ce n’est que plus tard, bien après la mort de son mari et que ses deux fils aient fait leurs vies que nous avons fini par nous revoir. Nous nous sommes pardonnées nos erreurs, et malgré nos cheveux blancs nous n’avions pas tant changé que ça dans nos cœurs.
J’étais seule, elle aussi, nous avions décidé de revivre ensemble, la vie était plus douce. On n’y voyait plus très bien mais c’était comme si toutes les couleurs étaient ravivées, ou étaient-ce les pilules contre le diabète ? Autant mes guiboles ne pouvaient plus me porter depuis belle lurette, autant ma douce Isis était devenue sourde comme un pot ! Les piles pour son appareil auditif ne durent pas très longtemps, on en a eu des fou-rires pour des quiproquos. Elle a essayé de m’apprendre le tricot, je n’ai jamais réussi à faire une maille ! Ses goûts pour les séries ont évolué, fort heureusement, mais on se surprend à rigoler devant les jeux télé. Ils sont si bêtes ces candidats, à notre époque nous étions mieux instruits et moins dépendants des machines. J’ai horreur quand des affaires trainent par terre maintenant, j’aime quand flotte une bonne odeur de cire dans le salon. Après avoir bu notre camomille au goûter, tous les jours quel que soit le temps nous sortons main dans la main dans le parc pour regarder les amoureux et les enfants, ça nous revigore.
Mais depuis quelques mois, on m’a diagnostiqué Alzheimer, faut dire que je planquais sans raison les yaourts dans la table de nuit. Isis veille sur moi mais je sens qu’elle s’inquiète. Cela fait bien longtemps qu’on a arrêté les galipettes mais nous tenons tellement l’une à l’autre. Nous essayons au maximum de retarder l’échéance de devoir partir en maison de retraite. Nous avons mis des années à vivre ensemble, ce n’est pas maintenant qu’on va nous séparer ! Je serai toujours reconnaissante envers elle de m’avoir autant épaulée. Ses fils ont fini par accepter notre relation et il nous arrive de nous retrouver ensemble pour les fêtes avec les petits-enfants. Heureusement pour feu-Hélène, le flambeau des pulls qui grattent à Noël a été repris, mais Isis fait des motifs nettement plus jolis.
Merci pour vos participations !
voilà le texte et image par Vava et moi.
Elle ne veut pas d'ortie, ni de ronce. Aaron l'emmena donc camper dans un coin avec des cerisiers, des chênes des fleurs qui sentent bon le printemps, même les oiseaux sont de la partie ça chante, ça virevolte au plus grand plaisir de Jessie qui s'empressa d'embrasser son tendre Aaron.
Ils installèrent leurs campements et pique-niquèrent sous un cerisier c'est à ce moment-là que Jessie annonça à Aaron qu'ils allaient bientôt être trois ou quatre si ce sont des jumeaux.
À cette annonce Aaron laissa éclater sa joie qui pouvait se lire sur son visage et son attitude!
Nous pouvions lire sur les visages des deux jeunes gens la joie qu'apporta cette nouvelle fabuleuse.
Jessie ajouta, il va me falloir une nouvelle garde-robe ... Tous que tu veux ma douce répondit Aaron... puis des affaires pour les bébés ... et ça chambre ajouta Aaron.
Les semaines qui suivirent Aaron accompagnèrent tout naturellement Jessie qu'il aimait plus que jamais faire les boutiques, il la conduit à faire les magasins, portant les sacs, s'arrêtèrent prendre un encas car faire les magasins ça creuse. Puis ils reprirent la course aux magasins... tien Jessie nous n'avons pas fait cette boutique... à son dur comme ça durant toute la grossesse.
À vous de voter, et ce jusqu'au 27 février minuit !
Oulala pas évident du tout de voter...
Les trois histoires sont très différentes.
J'ai trouvé quelque chose de passionné et original chez Anna&Jehan, une histoire douce et mignonne chez Vavalanche&Bretagne, et un amour doux et touchant pour Isis&Nib... Pour qui voter
Je vote finalement pour le "Et ils vécurent..." de Isis&Nib mais bravo à vous six !!!
Huuu.. j'hésite. J'ai un petit soucis parce-que j'ai l'impression que le vraie fin des histoires de Jehan et Misky ainsi que de Bretagne et Vava se trouvent plus dans l'animation Belle Famille (que j'ai lu en premier et que je me suis un tantinet spoiler du coup ) même si j'apprécie leurs participations. Mais je pense voter au final pour Isis et Nib et leur histoire très touchante.
Alors comme ça vous aimez les histoires de dentiers et de prothèse de la hanche ?!