[Random Legacy] Les vies des Charpentier

Je suis pas très friande de ce format (je me lasse quand ça devient trop prévisible puis je reviens en cours de route), j’aime beaucoup la façon dont tu le romances. Et puis bon j’ai toujours adoré te lire peu importe le format.
Je ne sais pas si elle est rancunière mais je propose que Don soit le premier fantôme à venir hanter ta maison. Un fantôme séducteur ça devrait être marrant ? ^^

@Sucréomiel a écrit:

je propose que Don soit le premier fantôme à venir hanter ta maison. Un fantôme séducteur ça devrait être marrant ? ^^

+1000 (tiens ça fait un bail qu'on ne voyait plus ça)

Je ne me souviens plus si tu l'as appelé Max pour faire plaisir à Queenie avec Max Iron ?

Ouais le fantôme de Don, je vote pour aussi.
Quel goujat ! Bon au moins ça va avec sa personnalité. Je me demande si Max et elle vont finir dans le même lit...

Merci pour vos coms, les filles.

Et voilà, pas de Don super papa, vous vous y étiez attendus. On verra si j'écoute vos voix pour le fantôme
Max, c'est pour Maximilien, Nib, pas Max Iron ^^ Et Max, c'est plus court (je suis juste fainéante... ).

Max était surexcité de se retrouver à Selvadorada, sur les traces de son grand-père aventurier. Il avait confié à Zazie qu'il rêvait d'une chose : devenir chasseur de reliques et en vivre. Carrière peu conventionnelle, certes, mais Zazie était mal placée pour critiquer ce choix de vie, rêvant elle aussi de liberté salariale. Néanmoins avec un bébé en route et peu d'économie d'avance, elle commençait à s'inquiéter pour l'avenir.
Max lui avait pourtant redit de ne pas s'en faire, que son héritage était en bonne voie et qu'à leur retour chez eux, une surprise l'attendrait. En attendant, il s'était levé aux aurores pour être fin prêt à s'aventurer dans la jungle.

Zazie, quant à elle, était vaguement nauséeuse. L'avion ne l'avait pas laissée indemne et la chaleur humide n'arrangeait rien à son mal-être. Mais elle avait promis d'accompagner Max pour sa première expédition. Elle ne pouvait plus reculer et suivit le jeune homme jusqu'au marché local pour acheter du matériel, indispensable à la survie dans la jungle. Réjouissant...

Pendant que Max faisait des folies au marché (douche en bombe, sandwiches hyper-protéinés et répulsifs en tout genre, sans oublier l'incontournable machette) puis s'accordait un petit remontant au bar, Zazie sortit sa guitare et commença un petit concert improvisé. La musique la détendit (elle appréhendait un peu de crapahuter dans la forêt avec la nausée qui encombrait sa gorge).
Bientôt, il fut temps de partir à l'aventure.

Max entreprit aussitôt de se tailler un chemin entre les lianes envahissantes de la jungle selvadoradienne, suivi d'une Zazie un peu effrayée de la sauvagerie du paysage. L'ardeur du jeune homme était belle à voir, cependant, et Zazie en eut un pincement au cœur : s'il mettait autant d'énergie à construire un foyer décent pour l'enfant à venir, elle n'avait aucun souci à se faire. Zazie n'avait jamais considéré Max comme une force de la nature, il était plutôt mince (pour ne pas dire maigrelet) et peu musclé, a priori (difficile de faire une idée précise avec les habits qu'il portait habituellement) : en somme tout le contraire de Don. Mais dans cette jungle, dans sa tenue pratique trempée de sueur par l'effort, maniant la machette comme un virtuose, elle le voyait sous un jour nouveau... Elle imagina Don dans la même posture et ça la fit rigoler : non, Don était un citadin pur et dur, il ne saurait pas se débrouiller ici, contrairement à Max qui, malgré des dehors précieux, n'avait pas peur de se salir et de s'écorcher pour vivre à fond sa passion. La passion de Don, elle, requérait d'être toujours bien mis, à son avantage : elle reposait sur du paraître. Max, lui, était, tout simplement. Zazie repoussa férocement le souvenir de Don pour vivre pleinement l'instant présent aux côtés de son ami.

Et sa joie d'être ici faisait plaisir à voir : on aurait dit un gamin devant le sapin de noël rempli de cadeaux.
- Hey, t'as vu, ma belle. Les lianes n'ont qu'à bien se tenir ! J'en fais qu'une bouchée ! Je suis un héros comme Indiana Jones !
Et il éclata d'un rire vibrant, jubilatoire. Zazie ne put s'empêcher de glousser.

Les paysages étaient grandioses, il fallait le reconnaître, mais c'était éprouvant pour la future maman. Quand Max courait comme un cabri, Zazie y allait plan-plan pour s'économiser. Surtout sur ce pont de singe bringuebalant, totalement terrifiant !

Mais bientôt, Zazie en eut assez ! Elle avait chaud, elle dégoulinait de sueur, elle avait des crampes d'estomac et le cœur au bord des lèvres, et pour couronner le tout, un essaim d'abeilles l'attaqua violemment. Max vola à sa rescousse avec une bombe d'insecticide, mais le mal était fait. Zazie ne voulait plus aller plus loin, point ! L'aventure s'arrêtait là pour elle, elle regagna leur maisonnette, laissant Max dans son élément.

Max finit par dénicher des tas à creuser, mines de possibles reliques. Il y passa le reste de la journée.

Le temps fila rapidement, les deux amis avaient décidé de rester un peu plus longtemps à Selvadorada, afin que Max trouve le plus de reliques possible et que Zazie, encore fragile émotionnellement, évite de croire un Don détestable. Rien de les retenait à Windenburg, aucun travail ni aucune famille. Le loyer n'était pas exorbitant ici, alors les vacances se transformèrent en résidence.

Tout ce dont avait besoin Zazie, c'était de sa guitare. Elle ravit les oreilles selvadoradiennes de ses mélodies et entreprit de composer une musique pour exorciser la douleur causée par sa rupture avec Don.

Max en profita pour explorer la jungle, tombant même sur un temple inexploré. Malheureusement, il tomba dans un piège qui le dissuada de continuer dans cette voie : les fouilles étaient moins dangereuses... La fléchette empoisonnée le rendit malade pendant quelques jours.

Plusieurs mois s'étaient coulés quand la réalité se rappela à eux. Zazie commença à ressentir de drôles de sensations dans son ventre. L'accouchement était proche. Elle ne voulait pas accoucher en pleine jungle et préféra donc prendre le risque de rentrer immédiatement pour donner la vie dans son pays d'origine, chez elle. Max accéda à sa demande, inquiet et en même temps impatient.

J'espère que les prénoms seront à coucher dehors

Haa Don !
Bon, en même temps ce ne serait plus Don s'il avait été tout réjoui de l'arrivée du bébé...

Très mignonnes ces photos à Selvadorada ! Max est adorable, mais n'espère t'il pas que ça aille plus loin ?
Hâte de voir le bambino ! Moi je dirai un p'tit mec !

Superbes ces deux chapitres ! Je voulais pas de Don dans sa vie ! Niark !
Nib', je t'aime
Les images sont vraiment magnifiques, chapeau ! J'adore ta plume, vraiment. Tu arrives parfaitement à faire vivre tes sims, et on est très très vite embarqués dans l'histoire.
Je veux la suiiiite  
Je dis plutôt une fille ! Une petite rousse !

@Queenie a écrit:

Nib', je t'aime

Oui moi aussi Qn' j'ai dit un truc particulier ?

Quelle bonne idée d'aller à Selvadorada pour panser son coeur meurtri !
Curieuse de voir comment leur petit ménage va évoluer, comment Max va sortir de la "friend-zone".

Merci pour vos coms, ça fait très plaisir, et je reprends goût à l'écriture grâce à vous et à cette famille. Ca me manquait, d'écrire.

Nib, tu me connaît, je choisis toujours des prénoms à coucher dehors ^^

Choute : j'aime beaucoup Max qui a des traits doux et il est aux petits soins, toujours à mettre la main à la pâte. Nous verrons bien si ça colle entre eux deux.

Queenie : merci ma belle. Tu auras la suite dès demain matin, je pense. C'est que je suis pas mal occupée avec l'école en ce moment, j'ai des horaires hachés, donc pas facile d'avoir assez de temps pour écrire (vu que j'écris en même temps que je poste.

Sucrée : Oui Selvadorada m'a semblé une bonne idée et puis il fallait des sous au foyer, vu que les concerts de rue, ça rapporte vraiment rien... Alors, on a puisé dans les réserves qui servaient aux factures, et zou, décollage !

Donc, voilà, vous aurez la suite très certainement demain matin, si j'arrive à me dégager du temps. Mais je peux vous dire qu'il s'en passe, des choses, dans les prochains épisodes ^^

Sympa la parenthèse vacances qui dure plusieurs mois. J'espère que Max a embarqué plein de reliques pour les revendre. Quand il aura le niveau 10 ils lui enverront des reliques à analyser et ça rapporte trois ou quatre mille.

Ca rapporte tant que ça ? Ben tant mieux, parce que bon, c'est pas avec la musique que Zazie va s'enrichir... Merci d'être passée, Ana.

Allez, la suite, comme promis.

Quand elle descendit de l'avion les rapatriant à Windenburg, Zazie ressentit une violente douleur au ventre. Elle n'arriva pas chez elle et fut transférée d'urgence à l'hôpital. Il s'en était fallu de peu pour qu'elle n'accouche sur le tarmac !

L'accouchement se fit sans heurt et rapidement. Naquit une adorable demoiselle au doux nom de ...

Quand Zazie rentra à la maison avec son bébé, elle eut la surprise de découvrir une petite chambre accolée à son bungalow. C'était simple, sans prétention, mais charmant et largement suffisant pour un nourrisson. Max avait tout arrangé pour la venue de Yelena, comme un papa poule. Cette attention avait gonflé le cœur de la jeune maman d'un beau sentiment de tendresse.

D'autant que Max s'occupait largement de l'enfant. Il pouvait passer des heures à la regarder dormir ou à lui parler en mode gaga :
- Oh que tu es jolie, ma puce. C'est qui qui est totalement fan de toi ? C'est papa ! Oh oui, ma toute belle, je veillerai toujours sur toi, tu n'as pas à avoir peur...

Quand Zazie les surprenait tous les deux, elle en pleurait : de joie pour sa fille qui ne grandirait pas sans père malgré des débuts chaotiques, de tendresse pour Max qui avait accueilli la petite comme la sienne. Un sentiment autre que l'amitié commençait doucement à emplir son cœur, contre toute attente. Ce n'était pas la passion dévorante qui l'avait consumée avec Don. C'était quelque chose de beaucoup plus solide, un feu certes moins ardent mais tellement plus durable et réconfortant. Avec Max, elle avait trouvé un foyer, elle le sentait.

Les choses commençaient à changer entre les deux amis. Il y avait des coups d'œil plus appuyés, des frôlements par inadvertance qui n'avaient rien d'amical, des petits mots doux lâchés l'air de rien... Ca se faisait tout seul, naturellement. Yelena était leur lien, elle remplissait leur vie, la comblait et les rapprochait inexorablement.
Seulement, une mauvais nouvelle arriva bientôt. Le notaire avait contacté Max pour lui dire qu'il n'y aurait pas d'héritage... Une sombre histoire de dettes et de frais notariaux : bref, il ne restait pas un kopek dans la poche de Max qui comptait dessus pour améliorer le quotidien de sa famille... Tous ses rêves s'écroulaient d'un coup. Pire, il avait pioché dans les économies de Zazie pour partir à Selvadorada et construire la petite chambre de Yelena : il se sentait juste minable d'avoir entamer aussi frivolement les maigres économies de la jeune femme. Il savait désormais comment s'était sentie la cigale de la fable...
Ce fut Zazie qui le sortit de la dépression ; elle le sera fort dans ses bras, et lui murmure dans le creux de l'oreille :
- Ce n'est rien, Maxou. Je n'ai pas besoin d'argent... J'ai besoin d'un père pour Yelena. Et ça, tu le lui offres tous les jours. Le voyage, j'en avais besoin, c'était une bonne idée pour me ressourcer (malgré les abeilles et les moustiques), alors ne t'en fais pas pour ça. Et la chambre, il la fallait bien, de toute façon ! L'argent, on en aura bien un jour. Ce qu'on a aujourd'hui, c'est bien plus précieux...

Dès lors, Max sut rebondir. Il avait trouvé quelques reliques et il s'attela à les authentifier dans l'espoir de trouver la perle qui les sortirait du rouge financier. De plus, il adorait inspecter ses trésors, qui lui rappelaient les palpitations à chaque découverte durant ses fouilles selvadoradiennes. Le climat lui manquait, la végétation, la culture, tout dans ce pays lui plaisait et il avait hâte de pouvoir y retourner pour explorer encore plus ce beau pays.

Quant à Zazie, elle ne sortait plus beaucoup, ne voulant pas se séparer longtemps de Yelena. Finis pour elle les concerts interminables de rue. Elle avait entrepris de composer des chansons. L'une d'elle avait son petit succès sur la radio locale et lui rapportait un petit pécule. C'était pas encore du Jean-Jacques Goldsim, mais tout de même, la jeune musicienne était fière de cette petite réussite.

C'était une belle vie, tranquille, qu'ils s'étaient construites. Puis un jour, tout s'accéléra d'un coup. Zazie avait décidé de sortir un peu, juste avec Max, loin des couches et des biberons.
Elle avait une petite idée en tête. Elle connaissait les sentiments du jeune homme pour elle depuis un moment déjà, depuis le début, à vrai dire. Elle en avait un peu profité à l'époque, quand elle l'avait accepté dans sa vie au moment où elle en avait besoin. Mais désormais, elle ressentait un sentiment diffus pour lui. Ils vivaient déjà comme un couple, dans un espace réduit, avec un bébé parfois brailleur dont ils s'occupaient à tour de rôle. Il ne manquait qu'une chose pour que ces trois êtres soient une vraie famille.
Zazie fit le premier pas, elle savait que Max était trop respectueux pour aller plus loin, il avait été si patient.

Leur premier baiser fut doux comme du coton, forgé par des mois d'amitié inébranlable et une bonne dose de confiance acquise au fil du temps.

Les deux tourtereaux furent saisis par la facilité avec laquelle ils acceptèrent ce changement. Leur amour était juste une évidence. Zazie, le cœur empli de joie, demanda à Max :
- Tu veux bien être plus que mon ami, mon petit ami ?
- Je veux être plus que ça, Zazie, je veux être ton compagnon dans la vie... Tu pourras toujours compter sur moi. Je t'aime...
Zazie l'embrassa derechef !

Ils passèrent le reste de la journée à se détendre dans la piscine, à jouer comme des gamins, à se découvrir sous un autre jour, avec un regard neuf. Cette journée leur fit le plus grand bien et ils regagnèrent leur foyer le cœur plus léger, confiants dans leur futur. Leur première nuit dans le même lit fut à l'aune de cette journée : riche en émotions, douce et surprenante, tout en étant parfaitement évidente.

Et il fallait bien tout cet amour pour garder le moral ! Car les reliques de Max se révélèrent pour la plupart être de pâles contrefaçons. Quelques unes rapportèrent un peu, de quoi rembourser le voyage, mais ça ne cassait pas trois pattes à un canard.

Le quotidien les happa bien vite dans une routine apaisante. Zazie aimait beaucoup jouer de la guitare pour sa fille qui écoutait les notes en gazouillant joyeusement avant de s'endormir du sommeil du juste.

Quant à Max, il était bien obligé de se mettre au bricolage pour maintenir la maison à flot, les revenus du couple étant assez erratiques et ne permettant pas d'embaucher de plombier.

Zazie avait décidé de retrouver sa forme d'avant accouchement et, rassurée sur les compétences paternelles de Max, elle hésitait moins à sortir de la maison. Elle allait donc régulièrement à la salle de sport de San Myshuno, aimant l'atmosphère citadine du lieu qui lui rappelait ses débuts comme musicienne de rue. Malheureusement, il s'avéra que la salle était aussi fréquentée par un fantôme de son passé...

Don était égal à lui même : beau gosse et beau parleur. Il engagea la conversation avec Zazie comme si de rien n'était.
- Oh mais dis-moi, Zazie, tu es toujours aussi jolie. A croquer, ma belle ! Et ce fessier ! Alors, tu l'as eu, ce marmot, finalement ? parce que comme ça, on dirait pas ! T'es toujours aussi sexy !
Zazie lança un regard noir au Don Juan et quitta la pièce sur un "Pauvre type" bien senti.

Mais il en fallait plus pour refroidir Don. Pas gêné pour deux sous, il suivit Zazie jusque dans les vestiaires. Il était là, chez les dames, à attendre son ancienne conquête qui prenait sa douche. Quand elle sortit, en tenue légère, il la prit à partie.
- Hé ma belle ! Ca te dirait de remettre ça ? Tu sais, tu me manques, bébé. C'est bête d'être partis fâchés. Allez viens, on va s'amuser...
- Non mais ça va pas mieux toi ! T'es vraiment qu'un porc ! tu connais le mouvement d'ailleurs, qui porte ton nom ? Tu veux que j'appelle les flics pour harcèlement ? Dégage de là ! Je veux plus te voir. J'ai refait ma vie, et je suis bien. Ma fille est magnifique, elle est heureuse, et c'est pas grâce à toi. Sors de ma vie, sors d'ici, ou je hurle !
Pas courageux pour deux sous et voyant plusieurs femmes sortir des cabines de douche pour voir d'où venait l'esclandre, Don s'enfuit la queue entre les jambes...

La mésaventure avait bien remué Zazie qui raconta tout à Max une fois attablé pour le dîner. Le jeune homme ressentit une violente colère à l'encontre du séducteur culotté.
- Je te jure, si je le croise, je le tue !

Houlala, j'ai bien peur qu'il le tue en vrai! =O
Mais en tout cas ils sont trop mignoooonnnsss!

Et j'ai beaucoup aimé leur voyage aussi =D Mais quelle idée de reprendre l'avion enceinte jusqu'au coup

J'aime la petite menace à la fin. Même si j'ai du mal à imaginer ce si doux et si posé Max arriver à de telles extrémités.

Sinon, comme Dada : ils sont trop mignons !

J'adooore ! Enfin le premier bisou ! Il était temps !

Bienvenue Yelena !
Ho ce Don !
Mais non Max, ne te salis pas les mains pour ce plouc, il n'en vaut pas la peine !
Zazie a retrouvé la ligne ! Mes sims ne perdent plus de poids après leurs grossesses.

Dada : Elle est téméraire, la Zazie, hein ^^ L'avion, c'était une mauvaise idée, ça a accéléré les contractions

Sucrée : serait-il capable du pire, Max ?

Linette : oui il l'a attendu son baiser, le pauvre.

Choute : Elle est mince au départ, et je l'ai faite assez athlétique, du coup, juste en faisant un peu de sport, ça passe pour le moment. Mais dès qu'on fait des simettes un peu plus rondes, les accouchements font du mal...

Merci à vous 4. Et maintenant la suite.

Le temps avait filé, sans aucun nuage à l'horizon. Yelena était devenue une adorable bambine, au charme ravageur. Impossible de lui dire non, elle savait ouvrir de grands yeux larmoyants et pétillants pour faire fondre le cœur de ses parents. Elle était de toute façon plutôt sage et calme. Ce qu'elle aimait par-dessus tout, c'était écouter la voix de Zazie lui racontant des histoires. Et la jeune maman adorait passer du temps avec la petite. Elle ressemblait beaucoup à Zazie et peu au géniteur, hormis pour ses grands yeux noisette. Si bien qu'il était facile de prendre Max pour le vrai père. Les gens n'y voyaient que du feu.
En parlant de Max, il était aux anges, content de cette paternité qu'il vivait à fond. Il profitait de chaque instant avec Yelena. Comme les deux parents travaillaient à la maison, l'un en composant des musiques, l'autre en authentifiant des reliques (qui commençaient à se raréfier, soit dit en passant), la petite s'épanouissait de jour en jour et apprenait avec passion.

Cependant, les économies du foyer commençait à battre de l'aile, ou plutôt périclitaient. Les reliques trouvées par Max n'étaient pas si rares et Zazie avait du mal à se concentrer sur sa musique et à se donner à fond dans la composition. Et puis l'aventurier était en mal d'aventures...

Un soir, il demanda à Zazie :
- Chérie, ça te dirait de repartir à Selvadorada ? Ca serait une super expérience pour Yel, et puis j'aurais peut-être plus de chance dans mes recherches. Je trouverais peut-être le lama d'Or aux yeux violines ?
Zazie soupira légèrement et répondit :
- Hum, ne te vexe pas surtout, max. mais sincèrement, je n'ai pas envie de retenter l'expérience...
- Pourquoi, voyons ? On s'était amusés, non ?
- Oui enfin surtout toi, hein... Non mais tu sais, je suis pas friande des abeilles, des mygales et des serpents. Et puis, je crains la chaleur, c'était tellement étouffant !
- Oui, mais tu étais enceinte, tu avais des bouffées de chaleur...
- Ah oui, parlons-en de mon état, tiens... Tu te rappelles que j'ai failli accoucher là-bas, que tu avais peur que je reprenne l'avion et que j'accouche en plein vol, mais que moi j'ai insisté pour rentrer quand même ?
- Oui... Et alors ?
- Ben si je voulais pas accoucher là-bas, c'est parce que la médecine de là-bas, c'est zéro. J'avais lu un article quand tu étais parti en expédition dans la jungle. J'ai pris peur, c'est d'ailleurs pour ça, je crois, que les premières contractions sont apparues, comme par hasard... J'avais une trouille bleue d'accoucher en pleine cambrousse, toute seule sans secours. J'avais besoin de la civilisation, de mon confort. Alors oui, le pays est magnifique, les gens sont adorables (et ont très bon goût musicalement parlant, ils aimaient bien mes concerts), la culture est riche. mais la médecine date du siècle dernier !
- Oui, OK, je comprends... Mais tu n'es pas enceinte, là ?
Zazie eut un petit sourire :
- On en a jamais parlé, de ça, si tu avais envie d'un enfant... Je veux dire, d'un enfant à toi...
- Oui, c'est vrai, mais je pensais que tu connaissais déjà mon sentiment. J'ai adopté Yelena sans me poser de questions, et je pense que je suis assez présent pour elle. J'ai toujours adoré les enfants, et je rêve d'en avoir toute une ribambelle ! Mais pas avec n'importe qui... Il me faut la bonne compagne... Et j'ai la chance de l'avoir trouvée...
- Oh tu es un amour ! Mais pour en revenir à nos moutons... Non je ne suis pas enceinte.
Max fit la grimace, elle lui avait fait une fausse joie :
- Mais alors qu'Est-ce qui te chagrine ?
- C'est Yelena. Tu vas me prendre pour la pire des mamans poules. Mais imagine qu'elle se blesse, ou qu'elle se fasse mordre par une sale bête. Elle ne recevra pas les soins adéquats, et elle pourrait en mourir. Ca me donne des sueurs froides. J'avais tellement peur que tu me demandes ça, je vois bien que ça te démanges, que Selvadorada te manques. Mais moi, je ne peux pas, je ne veux pas prendre de risques inutiles. Tu comprends ?
- Oui, je comprends. Je n'avais pas vu les choses sous cet angle. Tu sais comme je suis quand je me plonge dans ma passion ? J'ai comme des œillères. Tu es vraiment la meilleure des mères.
- Je ne sais pas : on pourrait très certainement me traiter de mère abusive, psychotique, étouffante.
Max prit Zazie dans ses bras pour la réconforter :
- Ne t'inquiète pas avec ça, va. Laisse tomber, c'était une idée stupide. On peut très bien s'en sortir sans le Lama d'or...
- Oh non, je ne veux pas te priver de tes rêves, Max! Certainement pas ! Tu vas y aller. On se débrouillera bien toutes les deux.
- Tu es sûre ?
- Oui, pas de problème.

Plusieurs jours furent nécessaires pour préparer le voyage. Jours qui furent aussi mis à profit pour des au-revoir torrides. Quand Max dut faire le dernier câlin à Yelena, ce fut un déchirement, pour les deux : la petite resta collée dans les bras de son père qui essayait de faire bonne figure et se voulait rassurant. Zazie dut littéralement arracher l'enfant des bras de Max pour qu'il ne rate pas son avion.

Max avait loué le même bungalow que pour leur premier voyage et un flot de souvenirs le cueillit dès qu'il entra. Il était déjà amoureux de Zazie et regardait son ventre grandir avec un mélange de sentiments très forts : impatience, jalousie, tendresse, amour.
Dès l'aurore, il partit en vadrouille, braver la jungle et ses lianes exubérantes.

L'archéologue du dimanche ne tarda pas à trouver des sites de fouilles prometteurs. Il s'attela à la tâche, sans plus se soucier de rien, tout à sa passion.
Le voyage devait durer plusieurs mois, afin que Max ait le temps de faire des recherches approfondies.

Sa famille lui manquait, mais il appelait presque tous les jours. Les grésillements de la ligne étaient un peu agaçants et les bafouillages de Yelena peu compréhensibles, mais ces quelques minutes lui mettaient du baume au cœur. Il vivait certes sa passion, mais ce n'était pas en pur égoïste. Il avait déjà trouver quelques reliques qu'il savait rares et précieuses : de quoi sortir le foyer du besoin, enfin !
C'était pour ça qu'il avait fait le choix de rester si longtemps loin des siens : pour leur assurer un avenir. La séparation était difficile : il ne reconnaîtrait sûrement plus Yelena tant elle aurait grandi et changé, et il était en manque de la peau douce de Zazie et de son rire enjôleur.
Mais c'était ça aussi, être chargé de famille : savoir faire des choix difficiles pour le bonheur des siens.

Au fil des mois, Zazie commença à paraître fatiguée au téléphone, jusqu'à ce qu'elle lui demande de rentrer le plus vite possible. Elle ne voulut rien lui dire de plus, mais le rassura avec une petite voix :
- Rien de grave, chéri. Mais j'ai besoin que tu sois là. Il est temps. Tu es parti assez longtemps.
- OK, je prends le premier avion, je serai là demain dans la matinée !

Zazie avait en effet une grande nouvelle à annoncer à Max ! Elle n'avait pas voulu le lui dire plus tôt, ne voulant pas le voir revenir trop tôt et pas assez rassasié de découvertes selvadoradiennes. Elle connaissait sa passion pour les vieilles choses, passion qui le rapprochait de son grand-père défunt qu'il admirait plus que tout. mais elle connaissait aussi son sens du devoir. Elle lui aurait dit qu'elle attendait un bébé, il aurait tout laisser en plan sans réfléchir et il aurait caché sa déception de n'avoir rien trouvé de mirobolant.
Alors, même si elle aurait voulu plus que tout qu'il soit à ses côtés à chaque minute de cette grossesse, elle avait fait ce sacrifice, pour lui, parce qu'il le méritait : il avait déjà tant donné, c'était à son tour à elle. 
Mais qu'il était difficile d'assumer seule cet événement tout en élevant une petite !
Le terme était proche et elle ne pouvait plus reculer : elle avait demandé à max de rentrer au plus vite. L'accouchement, elle voulait qu'il le vive avec elle, comme pour Yelena.
Malheureusement, la nature est parfois facétieuse. Dès qu'elle eut raccroché, elle alluma la télé sur les infos, et elle découvrit avec horreur qu'une tornade tropicale se dirigeait sur Selvadorada ! Vols annulés jusqu'au retour du calme, habitants et touristes priés de restés calfeutrés à l'abri...

S'en fut trop pour Zazie ! Bouleversée, elle fut prise d'une douleur fulgurante suivie de la perte des eaux.

Elle donna naissance à un joli garçon en pleine forme, au milieu de son salon et avec pour seule compagnie la petite Yelena.
Il n'y eut heureusement aucune complication, et Ydriss était un garçon robuste, plein de vigueur ! Le secours n'arrivèrent qu'après la bataille, pour vérifier que tout allait bien.

La chambre de Yelena avait été aménagée pour l'arrivée du nourrisson et était heureusement prête. L'espace était réduit, mais les enfants devraient faire avec. Zazie n'avait pas pu faire mieux avec ce qu'il lui restait. Il allait falloir qu'elle reprenne les concerts de rue et qu'elle cravache dur sur sa nouvelle compo.

Yelena, un peu perturbée par l'arrivée en fanfare de cet être bruyant qu'on appelait frère, réclama à corps et à cris une histoire pour s'endormir. Zazie, malgré sa grande fatigue se plia à ses exigences, après s'être occupée du petit nouveau.

Les jours qui suivirent furent éprouvant pour la jeune maman. Elle devait faire face au travail que représentaient deux enfants en bas âge, tout en entretenant la maison qui tombait en ruines (saleté de plomberie en kit !). Et cerise sur le gâteau, elle était morte d'inquiétude pour Max, qui ne donnait aucune nouvelle, la tempête faisant toujours rage sur la jungle selvadoradienne.

Ses nerfs étaient mis à rude épreuve et quand elle posait enfin sa tête sur l'oreille, seule dans le grand lit vide, elle lâchait la pression et sanglotait à chaudes larmes, ravagée. Et s'il ne revenait jamais ?

Mot de l'auteur :

Oui, alors le couple à fait crac-crac pour faire un enfant et juste après j'ai envoyé max en vacances tout seul. J'ai joué un jour ou deux sims. Puis je suis revenue à Zazie en laissant Max dans la jungle. Qu'elle surprise de voir le gros ventre de Zazie qui était sur le point d'accoucher . le temps ne s'arrête pas, quand on part en vacances, et Max est bien fertile, il n'a fallu qu'un crac-crac, que j'ai essayé à tout hasard, pour avoir un bébé ^^

Hoooo ! Ydriss ! Welcome !
Ben dis donc, Max va avoir une bien belle surprise à son retour ! (il va bien rentrer, hein ? )
La petite Yelena est trop choupinette, le trait charmeur lui va à merveille.

J'aime bien la tournure des choses, je trouve ça assez malin pour concilier la vie et les passions/revenus de chacun (avec les objectifs du tirage bien sûr). Et puis surtout rendre crédible une grossesse de 3 jours sims avec un long voyage.

Je ne doute pas qu'Ydriss sera tout aussi mignon que sa soeur.

Yelena est bien plus jolie que Don

Sacré surprise en effet! xD

Mais en tout cas j'espère qu'il n'arrive rien de grave à Max! =O Et Yelena est trop choupie! =D

Merci pour vos coms.

Alors, Max va-t-il revenir de son voyage chaotique ?

On va le découvrir de suite !

Une longue semaine s'était écoulée avant que Max puisse prendre l'avion. La tempête avait fait d'énormes dégâts et il n'avait pas pu contacter sa compagne qui devait être morte d'inquiétude. C'est d'un bon pas qu'il rentra donc chez lui.

Son premier geste fut de se jeter sur la bouche de Zazie : elle lui avait tellement manqué, et les derniers jours avaient été éprouvants, emplis de la peur de ne jamais la revoir. Puis il s'apprêtait à retrouver Yelena dans sa chambre quand la maman l'arrêta d'un geste.

- Attends, je dois te dire un truc avant que tu n'entres. Laissons Yelena dormir encore un peu, et parlons...

Zazie lui expliqua l'arrivée fracassante d'Ydriss. Max en fut bouleversé, et désolé d'avoir raté l'accouchement. Il promit d'être plus raisonnable lors de ces éventuels futurs voyages et de rester moins longtemps afin que la séparation soit moins douloureuse et qu'il soit réellement présent pour jouer son rôle de père.
Après un dernier câlin plein de tendresse, il entra enfin dans la petite chambre, pour découvrir la chair de sa chair.

Ydriss était juste parfait : 5 orteils minuscules, 5 doigts adorables, deux oreilles délicates, une bouche toute mignonne où s'attardait une petite bulle de lait. L'émotion le submergea, il ne put retenir ses larmes de fierté, s'étonnant d'être à l'origine d'une créature aussi parfaite.

Les retrouvailles avec Yelena furent tout aussi émouvantes. La petite avait poussé pendant son absence et elle trottait comme un cabri. Son babillage s'était aussi transformé en phrases plus cohérentes. Elle se cala dans les bras réconfortants de son père et y resta un bon moment, pour la plus grande joie de Max qui avait peur qu'elle l'ait oublié.
Quant à Zazie, elle prit sa guitare, qu'elle n'avait pas touchée depuis un bon moment, pour jouer une mélodie emplie de joyeuse mélancolie. Le retour de Max donnait des ailes à chaque membre du foyer : chacun était enfin à sa place, formant un joli puzzle d'amour et de complicité.

La vie reprit son cours normal. Les deux parents jonglaient entre biberons, couches, apprentissages et jeux, tout en reprenant leurs activités favorites, qui assuraient également leur train de vie.
Zazie composait toujours des chansons : c'était laborieux, les stations de radio n'acceptaient pas beaucoup de morceaux, mais ça permettait d'arrondir les fins de mois. Le plus gros des revenus venaient des reliques trouvées par Max. Cette fois-ci, il avait eu de la chance. Les contrefaçons étaient peu nombreuses et la revente de ses trésors commençaient à rapporter suffisamment pour que le couple puisse économiser.

Tout aurait pu continuer ainsi sans un grain de sable malencontreux venu enrayer la machine. Un beau matin, Don arriva comme une fleur pour tout foutre en l'air.

Il toqua à la porte l'air dégagé, genre roi du monde ou maître en sa demeure. Ce fut Zazie qui lui ouvrit. Elle ne le fit pas entrer et l'entraîna dans le jardin :
- Qu'est-ce que tu fous là ?
- Tu sais, j'ai bien réfléchi. J'ai une fille avec toi, c'est ce que tu m'as dit la dernière fois. Et je voudrais la voir ! C'est mon droit, tu sais. Je veux faire partie de sa vie...
- QUOI ?!!!! Non mais tu rêves, là !
- Non mais tu sais, je pourrai faire un bon père, et...
- Il n'en est pas question, elle a déjà un père, elle est heureuse, moi aussi, on n'a pas besoin de toi ! tu sors de nos vies et illico !
- Le prends pas comme ça, voyons ! On a passé de bons moments quand même. J'ai vraiment envie d'être père, maintenant. je te demande pas qu'on reprenne où on en était, j'ai bien compris que t'avais pas trop envie. Mais t'as pas le droit de m'interdire de voir ma fille, quand même ! C'est pas juste...
Toute la rancœur que Zazie avait accumulée sans jamais la lâcher fondit sur Don :
- C'est pas juste ?... C'est pas JUSTE ?! Ce qui n'est pas juste, c'est que tu m'aies larguée comme une vieille chaussette moisie alors que j'avais besoin de toi. Ce qui n'est pas juste, c'est que tu condamnais sans remords ma fille à naître sans père. Ce qui n'est pas juste, c'est que tu reviennes maintenant, plusieurs années plus tard, maintenant que le plus dur est passé, pour tout détruire. Pourquoi tu veux soudain être père ? C'est devenu plus difficile de draguer, il te faut un enfant pour attirer les bonnes mères au foyer ?

- Non mais...

- Arrête, je veux même pas savoir ! Tu n'étais déjà pas grand-chose en tant que petit-ami, mais en tant que père, tu es zéro. J'en ai fini avec toi. Vas-t-en !

Elle lui tourna le dos et s'en alla sans un regard en arrière ce qui mit Don dans une rage folle. Max, attiré par l'esclandre arriva sur ses entrefaites et quand il vit Don, son sang ne fit qu'un tour.

Il se mit à crier sur le séducteur, à l'insulter copieusement et il en serait venu très vite aux mains si Don n'avait pas littéralement explosé !

- Rha, c'est comme ça ! Tu oses me rejeter, moi, le tombeur de ces dames ! De quel droit tu oses, Zazie ! Tu ne peux pas. Et tu crois que c'est ton minable petit toutou qui va m'arrêter ! Je veux... je veux... je veux... Argh !!!

Zazie revint sur ses pas, intriguée :
- C'était quoi, ce bruit ?
Max, interdit, répondit mécaniquement :
- Heu, c'est Don... Il s'est écroulé... Il ne bouge plus...

- Ho, il a pété une durite ? Bien fait, sale pignouf !

- Ne dis pas ça, chérie... je crois bien qu'il respire plus...

Max ne put retenir quelques larmes de culpabilité quand il sentit l'ombre de la mort emporter un Don qui s'était consumé de rage face à son impuissance à contrôler la vie de Zazie...
Comme le séducteur n'avait aucune famille, les autorités laissèrent le soin de son urne aux derniers à l'avoir vu en vie... Zazie aurait bien jeté les cendres dans les toilettes et tirer la chasse avec un éloge funèbre empli de mots interdits, mais Max au grand cœur préféra l'enterrer au fond du jardin, comme un rappel que la colère est mauvaise conseillère.

Ahlalala c’est bien connu que les anabolisants ce n’est pas bon pour le cœur.
En tout cas, je suis contente que Max n’y soit pour rien. Et puis c’est plutôt drôle comme mort : étouffer par sa rage. Ça fera un joli fantôme rouge comme son t-shirt.

Pourquoi un chapeau de lion ? et comment il fait pour rester sur le sol sans que la faucheuse rapplique aussitôt ?

J'ai pas confiance en Max, trop sympa pour être honnête. Feu Don, on adorait le détester.

Et appeler la police, une ambulance ? non ? Ah les sims ils n'aiment pas les formalités.