[Abandon] Le fabuleux destin d'Adonis Round.
EPISODE 11 EPISODE 12 EPISODE 13 EPISODE 14 EPISODE 15 EPISODE 16 EPISODE 17 EPISODE 18 EPISODE 19 EPISODE 20
EPISODE 21 EPISODE 22 EPISODE 23 EPISODE 24 EPISODE 25 EPISODE 26 EPISODE 27 EPISODE 28 EPISODE 29 EPISODE 30
EPISODE 31 EPISODE 32 EPISODE 33 EPISODE 34 EPISODE 35 EPISODE 36 EPISODE 37 EPISODE 38 EPISODE 39 EPISODE 40
EPISODE 41 EPISODE 42 EPISODE 43 EPISODE 44 EPISODE 45 EPISODE 46 EPISODE 47 EPISODE 48 EPISODE 49 EPISODE 50
EPISODE 51 EPISODE 52 EPISODE 53 EPISODE 54 EPISODE 55 EPISODE 56 EPISODE 57 EPISODE 58 EPISODE 59 EPISODE 60
EPISODE 61 EPISODE 62 EPISODE 63 EPISODE 64 EPISODE 65 EPISODE 66 EPISODE 67 EPISODE 68 EPISODE 69 EPISODE 70
Dernière édition par Merveilles le 2014-06-16, 23:41, édité 140 fois
Quoi ? Yumi et Billy ? Le gros scoop !!!
Je veux la suite !!!!
Roh, Billy, Yuyu, noooon ? Si ?
Adonis est officiellement un meurtrier. En même temps l'autre malade le méritait mais ça va me perturber un peu.
Vous l'attendiez tous, hein ?
Moi qui voulait faire voir qu'une amitié fille/garçon ça existait, ben c'est raté.
Sinon, concernant Adonis, ne t'inquiète pas, il ne te fera jamais de mal.
Merci pour vos commentaires !
Un matin, au cimetière de la ville, devant une tombe.
YUMI : Anna... Tu auras été ma première... Expérience.
Et mon premier amour, même si je ne voulais pas m'impliquer.
YUMI : Maintenant que j'y pense, sans notre rencontre, tu serais toujours en vie.
Je me sens tellement coupable, si tu savais.
La police dit que c'est Frederico qui t'a fait ça...
Au moins, il a payé.
Mais qui aurait pu faire ça ? Que je l'embrasse.
YUMI : Je ne peux plus me laisser abattre désormais.
Je dois penser pour deux.
Tu sais, jamais je n'aurais imaginé tomber enceinte.
Et encore moins de Billy.
Je ne sais pas quoi en penser, nous sommes justes amis lui et moi.
Yumi continua de discuter avec la pierre tombale quelques minutes, déposa des fleurs et s'en alla.
Direction la demeure de Kyle et Yu Xiang Round.
Ces derniers avaient pris la nouvelle de cette grossesse avec une immense joie.
Sans connaître tous les détails, ils étaient ravis de devenir grand-parents.
Yumi avait été invité à déjeuner.
YUMI : Maman, tu es superbe !
YU XIANG : Haha, dis pas ça pour me faire plaisir !
Je suis une petite mamie maintenant.
KYLE : Tu restes quand même la plus belle, mamie ou pas.
YU XIANG : Rolala, arrêtez vous deux, je vais devenir toute rouge.
YUMI : Bonjour papa, ça va ?
KYLE : Tout va bien et toi, pas trop mal au dos ?
YUMI : Un peu mais je survivrais. Arya mange avec nous ?
KYLE : Oui, elle arrive tout de suite.
C'est qu'elle avait grandi la petite Arya, c'était désormais une enfant.
Qui n'avait pas forcément sa langue dans sa poche.
YUMI : Salut ma belle.
ARYA : Salut !
Dis, dis, dis, tu sais déjà si c'est une fille ou un garçon ?
YUMI : Non, je préfère avoir la surprise.
ARYA : J'pourrais être la marraine ?
C'est quand que Yuki a un bébé elle aussi ?
Dis, dis, dis, il est où le papa de ton bébé ?
YU XIANG : Arya !
YUMI : C'est pas grave, maman.
Elle est juste un peu curieuse, n'est-ce pas ?
Pour te répondre, je ne sais pas quand Yuki se décidera à en avoir un.
De toute façon, ça ne se fait pas comme ça les bébés, tu sais, il faut y réfléchir avant.
ARYA : Mais t'y avais réfléchi toi ?
YUMI : Non mais ça ne m'empêchera pas de bien m'en occuper.
ARYA : Et le papa ?
YU XIANG : Bon allez, ça suffit l'interrogatoire Arya, viens m'aider à mettre la table, on mange.
Une fois à table...
KYLE : Alors, comment ça se passe à la maison ?
YUMI : Mmh, ça va, on vient de finir la nouvelle décoration, Yuki a l'air de filer le parfait amour avec son Jerry...
Et Baelfire...
YUMI : Et bien...
Bae est bizarre ces derniers temps, il ne sort plus, ne voit plus personne.
Et ne s'est pas encore engagé dans l'armée alors qu'il voulait le faire après son anniversaire.
KYLE : Et vous avez essayé de lui en parler ?
YUMI : Oui, bien sûr, mais il m'envoie bouler à chaque fois.
Il arrête pas de me répéter qu'il est trop occupé.
KYLE : À faire quoi ?
YUMI : Aucune idée.
YU XIANG : C'est peut-être une passade, garde un œil sur lui Yumi.
YUMI : Bien sûr.
BAELFIRE : Lissandra...
Qu'est-ce que tu veux...
Pourquoi moi ?
LISSANDRA : Je suis vraiment désolée.
Je ne voulais pas que tu te sentes aussi mal.
BAELFIRE : J'ai l'impression de devenir fou...
LISSANDRA : Tu n'es pas fou, Baelfire.
C'est de ma faute.
Je te laisserais tranquille jusqu'à mon arrivée.
BAELFIRE : Ton arrivée ?
De quoi tu parles ?
LISSANDRA : Ce sont plus que de simples rêves, Baelfire.
Et c'est le seul moyen que j'ai trouvé pour communiquer avec toi.
BAELFIRE : Tout ça... C'est réel ?
LISSANDRA : J'ai tellement hâte de te rencontrer...
BAELFIRE : Lissandra, attends !
Elle va me rendre fou...
YUKI : Mais où vous étiez passés ?!
ADONIS : On a juste pris un peu de bon temps.
YUKI : Ah ouais ? Non, attends tu sais quoi, j'm'en fiche, c'est pas mes affaires.
ADONIS : Sympa la nouvelle déco.
YUKI : Ouais, ouais, allez, j'ai pas que ça à faire, y en a qui bosse ici !
Dans la chambre.
PRISCILLA : Tu penses qu'elle se doute de quelque chose ?
ADONIS : Aucune chance qu'elle pense une seconde que j'ai réglé le compte de celui qui l'avait agressée.
PRISCILLA : Elle te parlerait avec moins de condescendance si c'était le cas.
ADONIS : Aaaah, de nos jours, les jeunes ne respectent plus rien !
YUKI : Bordel c'est pas un moulin ici !
Pfff, allez, rentre, ne touche à rien, moi j'me casse. Ciao !
YUNA : Ok...
YUNA : Baelfire ? Y a quelqu'un ?
YUMI : Deux minutes, j'arrive !
YUMI : Aaah ! Yuna, c'est ça ?
YUNA : C'est ça !
YUMI : Tu es venue voir Baelfire ?
YUNA : Oui, je n'ai plus de nouvelles alors je suis venue...
YUMI : Attends-moi ici.
Mets-toi à l'aise.
J'vais essayer de le faire sortir de sa grotte !
YUMI : Bon allez Bae, fais un effort et sors de cette foutue chambre !
Ton amie Yuna est venur prendre de tes nouvelles, montre-lui au moins que tu n'es pas mort.
BAELFIRE : Et si j'ai pas envie ?
YUMI : Roh tu me saoules là !
T'es enfermé ici depuis une éternité, ça sent le fennec et t'as une tête à faire peur !
Alors tu sors de là ou sinon j'le fais moi-même et j'te fous la honte devant ta copine !
BAELFIRE : Ok, ok, c'est bon.
YUMI : T'as de la chance que j'sois enceinte jusqu'au cou, sale gosse !
BAELFIRE : Salut.
YUNA : Bae ! Salut, alors commentça va ?
Hanson et moi, on s'inquiète pour toi, tu sais.
BAELFIRE : C'est pas la peine, je vais bien.
YUNA : Alors pourquoi on te voyait plus ?
BAELFIRE : J'étais occupé.
YUNA : Ok... Bon...
YUNA : T'es toujours occupé, là ?
BAELFIRE : Non.
YUNA : Alors viens, on va boire un verre, je te l'offre, tu veux bien ?
BAELFIRE : Ok.
YUMI : Baaaaae !
VA... CHERCHER... LA... VOITURE... ! VITE !
YUNA : Je suppose qu'il va falloir reporter !
BAELFIRE : On dirait bien... J'y cours, Yumi, j'y cours !
YUMI : AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !
BILLY, JE TE HAAAAAAAAAAIS !
Dernière édition par Merveilles le 2013-06-29, 04:54, édité 2 fois
O_o Yumi enceinte j'aurais jamais cru! Comme c'est la première fois que je commente, je vais y allé franco. J'adore les épisode! Les personnages sont supers et ont leur personnalité, j'aime aussi beaucoup les situation dans lesquelles tu les mets!
@Merveilles a écrit:
Sinon, concernant Adonis, ne t'inquiète pas, il ne te fera jamais de mal.
L'a pas intéret sinon je lui envoie mon armée d'écureuil mangeurs d'homme.
Sinon...
Noooooooon... Et ben qui l’eut crû. Et il est au courant le papa ?
Yu reste toujours aussi jolie même en mamie. La saaal... Hum.
BAELFIRE : Lissandra, attends !
Elle va me rendre folle...
Donc Bae est en réalité une fille...
(pardon j'ai pas pût m'en empêcher)
Yuki deviendrais sympa, sage même...
Anna n'a semblé être qu'une expérience pour Yumi, qui serait en cloque de Billy..
Yu et seraient devenus seniors...
Bae toujours en mode recherche... d'ailleurs, c'est moi ou il a maigri ?
La suite !!!!!
@misssimsbeach : Une nouvelle tête ! ça fait plaisir, merci beaucoup.
@LadySquirrel : Tu crois qu'Adonis se ferait battre par une armée d'écureuils ?
Il lui faudrait une bonne dizaine de tanks !
+ merci pour la faute, haha, j'ai corrigé !
@marylin : Ma p'tite Yuki qui devient sage ? Mmmh, va falloir que je règle ça.
+ Baelfire n'a pas maigri, c'est son tee-shirt qui donne cet effet, enfin, je pense.
Merci pour ton commentaire !
Bien que fatiguée après l'accouchement, Yumi a quand le même sourire devant sa petite merveille.
Et dans l'urgence, un berceau a été installé dans la chambre de la nouvelle maman.
Billy est venu le lendemain pour permettre à Yumi de se reposer un peu.
YUMI : Elle s'appelle Catelyn.
Je suis désolée, j'aurais dû t'en toucher deux mots avant de choisir.
BILLY : J'aime beaucoup, c'est un très joli prénom.
Elle dort là ?
YUMI : Oui mais elle ne devrait pas tarder à réclamer un biberon.
L'ambiance était tendue.
Ni Yumi ni Billy ne savaient où se mettre.
Après un silence pesant, Billy se lança.
BILLY : Tu sais, je serais toujours là pour elle, j'assumerais mon rôle de père.
Ce qu'on a fait était peut-être une erreur mais cette petite n'en est pas une.
Et je ne veux pas qu'elle grandisse sans père, en croyant n'avoir pas été désiré.
YUMI : Je sais Billy, tu es quelqu'un de bien.
BILLY : La vie réserve bien des surprises...
Jamais j'aurais imaginé être père, encore moins d'un enfant eu avec ma meilleure amie.
D'ailleurs, je veux qu'on reste en bons termes, même si ça paraît un peu difficile.
YUMI : ça prendra du temps mais je suis sûre qu'on y arrivera.
CATELYN : OUUUUUUUUUUUUIN ! OUUUUUUUUUUUUIN !
YUMI : Ah voilà, elle pleure, tu permets que je ?
BILLY : Oh, je peux y aller ? Tu me dis quoi faire, juste ?
YUMI : Bien sûr, avec plaisir, je vais chercher le biberon.
Dans la chambre voisine...
JERRY : Aaaah, ma chérie, ça te donne pas envie d'en avoir un à toi ?
YUKI : ça te fait kiffer d'entendre un bébé brailler ?
JERRY : Tsss, tu vois toujours les points négatifs.
Un bébé, c'est pas juste des pleurs, c'est de la tendresse, de l'amour !
YUKI : Mouais.
JERRY : Tu devras bien passer par là, non ?
Vu que tu es l'héritière.
YUKI : J'ai encore le temps.
Et heureusement, les nounous existent.
JERRY : Ah la la...
Baelfire rentrait de chez Hanson et mine de rien, ça lui avait fait du bien.
Yuna n'étant pas là, il se sentit plus à l'aise avec pour seule compagnie son meilleur ami.
Il fit un petit tour en ville à vélo, passa à la librairie et s'acheta de nouveaux vêtements.
Puis il déposa enfin un C.V à la base militaire de Lucky Palms.
Avoir un travail lui permettra de bouger un peu.
Lissandra n'apparaissant plus dans ses rêves, il redoutait le moment de leur rencontre.
C'est pourquoi il essayait à tout prix de se changer les idées.
En attendant que ça bouge chez les Round, quelques nouvelles des autres familles de Lucky Palms.
Joshua Round nous a quittés et c'est désormais Mona, sa fille, qui possède la maison.
Son fils unique, Stan, est devenu adolescent.
Rémy, fils unique de Fiora, vit toujours là aussi.
Avec sa femme Sandra, il a eu une fille qui s'appelle Shirley.
Devenue bambin depuis peu.
Chez Marine Nolan, son fils Kylian a épousé l'une des jumelles King, Abrianna.
Elle a d'ailleurs récemment donné naissance à un fils appelé Michael.
Le deuxième enfant de Marine, Mélanie, est devenue jeune adulte.
Au tour de la coqueluche de ses dames, Manu Round !
Ambre, sa femme, l'a rejoint dans la tranche d'âge senior.
Leur fille unique, Rita, a de nouveau donné naissance à une fille cette fois, Karen.
Son premier enfant, Erwin, est devenu enfant.
Enfin, Jérémy, deuxième enfant de Manu et Ambre, a atteint la majorité.
Il est toujours à l'heure actuelle célibataire.
Pour Kyle, vous savez déjà tout.
Allons plutôt faire un tour chez Katniss, la cadette.
Elle a veilli ainsi que leurs deux enfants, Marko et Krystel, devenus jeunes adultes.
On en voit enfin le bout avec les héritiers directs de James et Lilith.
Sergia et Armel ont donné naissance à un petit garçon, William Desmoulins.
Sur une note moins joyeuse, Layla Boiquin et Carol Desmoulins nous ont quittés.
De retour à la maison, tout le monde vaquait à ses occupations.
Yumi s'occupait de Catelyn...
Yuki analysait des statistiques sportives...
Adonis s'amusait à jouer au mixologue tandis que Priscilla goûtait ses créations...
Adonis Junior, devenu Adonis Senior, était chouchouté par Baelfire...
Enfin, Jerry jouait aux fléchettes dans le salon.
Rien ne semblait se passer jusqu'au moment où Baelfire reçut un SMS d'un numéro inconnu.
BAELFIRE, pensant : Retrouve-moi à l'hôtel des orchidées ce soir à 18h30, chambre numéro 7.
BAELFIRE, pensant : C'est elle, c'est sûrement elle.
Le soir venu, Baelfire se rendit à l'hôtel comme prévu.
Il était un peu angoissé à l'idée de rencontrer celle qui le hantait depuis si longtemps déjà.
Une fois devant la porte numéro 7, il frappa.
La porte s'ouvrit d'elle-même.
Baelfire, surpris, ne bougea pas.
LISSANDRA : Juste à l'heure !
BAELFIRE : Je... Je... Je ne sais que dire.
LISSANDRA : Rentre, pour commencer.
Tu vas pas rester sur le pas de la porte toute la soirée, si ?
Lissandra se leva du lit et Baelfire s'approcha.
Ils étaient enfin face à face.
BAELFIRE : Tu sais que tu m'as valu des sacrés migraines ?
LISSANDRA : Mmh, désolée, j'ai du mal à bien contrôler ma télépathie.
BAELFIRE : Bon.
Maintenant que nous sommes là...
Tu ne peux plus éviter mes questions alors je voudrais...
LISSANDRA : Je vais tout te raconter.
Ainsi débuta le récit de la jeune Lissandra.
Elle expliqua que, comme Baelfire, elle avait été déposé dans une famille.
Sauf qu'elle avait été moins chanceuse que Baelfire.
Tout ce que voulait sa prétendue famille d'accueil, c'était se débarrasser d'elle.
Ils avaient été dégoûtés par sa présence dès que l'homme qui l'eut porté avait accouché.
Elle avait donc été envoyée dans un pensionnat à peine avait-elle apprise à marcher.
Détestant ses camarades et en même temps, détestée par ces derniers, elle décida de prendre la fuite.
Après avoir lu un article sur la famille Round, si connue dans le monde.
Cet article parlait de toute la famille, d'Adonis, de Kyle, de ses filles et de son fils, un dénommé Baelfire.
Des photos accompagnaient ce dernier et Lissandra sauta de joie.
Elle n'était donc pas seule !
N'ayant nulle part où aller, elle décida de chercher Bae.
Elle ne savait pas pourquoi mais elle sentait qu'il fallait qu'elle le trouve, pour lui parler.
Peut-être en savait-il plus. D'où ils venaient.
Et puis, les habitants de Lucky Palms avaient été ravis d'accueillir le petit Baelfire.
Baelfire l'écouta attentivement et se rendit à quel point il avait été chanceux.
De tomber sur les Round, de tomber sur Kyle et Yu Xiang, d'avoir Yumi et Yuki à ses côtés.
Il ne pensait pas une seule seconde aux autres familles où des personnes comme lui avaient atterri.
Concernant Lissandra, il avait été content de voir qu'elle avait entendu parler de lui.
Il n'a aucune réponse à lui fournir mais il pourrait certainement l'aider.
Elle était jeune, sans ressources et il se demanda même comment elle avait fait pour survivre jusque là.
Une fois son discours terminé, ils sortirent prendre l'air et pour regarder les étoiles.
Les étoiles qui fascinaient tant Lissandra.
LISSANDRA : C'est dommage que tu ne saches pas grand-chose.
BAELFIRE : Mon père m'a dit qu'il avait rencontré l'un des nôtres, avant mon arrivée.
Mais il ne lui a rien dit de très explicite.
Puis je suis arrivé.
Peut-être ont-ils pensé que mon père était quelqu'un de méritant.
LISSANDRA : Tu crois que ton père pourrait reprendre contact avec lui ?
J'aurais tellement de questions à lui poser.
BAELFIRE : Je ne sais pas, mais je veux bien essayer.
LISSANDRA : Là-haut, quelque part... C'est chez nous.
Pourquoi ne suis-je pas née là-bas ?
Pourquoi m'avoir envoyé ici ?
Tu crois qu'ils veulent qu'on fasse quelque chose de particulier ?
BAELFIRE : Peut-être que oui, peut-être que non.
Peut-être que la vie en haut n'est pas si belle que ça et qu'ils voulaient le meilleur pour nous.
LISSANDRA : Alors pourquoi ne viennent-ils pas tous ?
BAELFIRE : Ils ont peut-être des obligations, je n'en sais rien.
LISSANDRA : Pas la peine de se casser la tête davantage.
Observons plutôt ses millions de petites merveilles.
Dernière édition par Merveilles le 2013-07-20, 00:34, édité 1 fois
*pars acheter des tanks*
Je suis contente pour Yumi et Billy, même s'ils ne sont pas ensemble ils seront de super parents.
Et Yuki semble suuuuuper motivé pour faire de même de son côté...
MANUUUUUUUUUUUU....
Enfin, Jérémy, deuxième enfant de Manu et Ambre, a atteint la majorité.
Il est toujours à l'heure actuelle célibataire.
Plus pour longtemps, j'en suis sûre.
Et maintenant on fait tous un gros câlin de réconfort à la petite nouvelle qui a super souffert et qui au passage est mignonne et rousse en plus donc elle ne peut être que géniale. Lissandra, Yuna, Lissandra, Yuna.... Raaaaaaaaaaah. Bon Lissou elle est mineure. Mais Yuna elle est casée...
Je suis en pleine lecture de ton histoire ! Bravo j'adore
104 épisodes ! °o° Je me demande combien de temps mes petits yeux vont tenir !
Salut les potes, et ouais, c'est moi.
De retour pour de nouvelles aventures Roundesque.
Merci pour vos commentaires !
Et ça fait plaisir de voir de nouvelles têtes, merci Grenadine.
- Comme Baelfire l'avait dit, il alla voir son père pour essayer de contacter sa connaissance extra-terrestre.
Il en profita pour embrasser sa mère et sa petite sœur Arya.
KYLE : Bonjour mon grand, alors, Yumi m'a dit que tu as déposé un C.V pour un emploi ?
BAELFIRE : Oui, à la base militaire.
Au début, ils pensaient que je venais jouer au cobaye extra-terrestre.
KYLE : ça m'étonne pas.
Qu'est-ce qui t'amène ?
Tu n'as pas été très explicite au téléphone.
BAELFIRE : Oui, je préférais t'en parler face à face.
J'ai fait une rencontre.
Ou plutôt, quelqu'un a cherché à me rencontrer.
Je l'ai vue hier.
KYLE : Oula, j'ai beau avoir un Q.I dix fois supérieur à celui d'Adonis...
Je ne comprends rien à ce que tu me racontes.
Baelfire lui expliqua donc toute l'histoire.
Depuis le début.
Ses rêves, ses dialogues avec Lissandra, leur rencontre.
Et la raison de sa venue.
KYLE : Mmmh.
Tu sais, je ne l'ai pas revu depuis des années.
Et je ne sais pas comment le contacter.
BAELFIRE : Comment ça s'était passé la première fois ?
Tu as bien du faire quelque chose pour l'inciter à venir ?
KYLE : Apparemment, ils aiment bien ceux qui s'intéressent à l'astrologie.
J'ai passé des jours et des nuits entières derrière le télescope.
BAELFIRE : Dommage que ça prenne autant de temps mais merci, je vais tenter le coup.
Je n'ai pas vraiment d'autres choix de toute façon.
KYLE : Et, concernant ta jeune amie, tu lui diras de passer ici, nous avons une chambre de disponible.
Si elle le souhaite.
BAELFIRE : Je lui en parlerais, merci, t'es le meilleur.
KYLE : N'est pas Round celui qui veut.
De son côté, Yumi venait d'être réveillée par sa fille.
YUMI, pensante : Tu es bien aimable de me laisser dormir si longtemps le matin ma puce.
Passant ses journées à s'occuper de Catelyn, Yumi n'avait que très peu de temps à elle.
De ce fait, elle ne pensait plus au décès d'Anna ni à l'avancement de l'enquête concernant la mort de Mr. Glaza.
YUMI : Maman sort aujourd'hui, ma chérie.
Elle a un concert ce soir !
Je t'y emmènerais quand tu seras plus grande.
CATELYN : Nyaa ahaha !
Elle confiera la garde à Yuki et Jerry.
Surtout à Jerry en fait.
Vu l'amour que Yuki portait aux enfants.
Adonis l'ayant bien remarqué, il essaie de convaincre sa jeune héritière.
ADONIS : Un seul, j'en ai besoin que d'un seul !
T'es pas obligée de te la jouer à la Jade et me pondre 50 marmots !
YUKI : Mais je vais devenir grosse.
Avec des courbatures et tout.
ADONIS : Bordel, pire que ton père hein ?
Fais-moi un héritier !
YUKI : Han ça va, arrêtez de me mettre la pression, t'en auras un d'héritier.
ADONIS : Oui, UN. J'en ai marre des gonzesses.
YUKI : Sale macho.
Alors que Yuki s'éloignait pour couper court à la conversation, Adonis ressentit quelque chose d'étrange.
Yuki lui paraissait... appétissante.
ADONIS, pensant : Oula, qu'est-ce qui m'arrive ?
Il tenta de joindre Priscilla mais tomba sur son répondeur.
ADONIS, pensant : Elle est probablement en mission.
Je ferais mieux de sortir prendre l'air.
Ce qu'il fit aussitôt.
Il évita tous les endroits bondés et se retrouva finalement dans le seul endroit toujours désert de la ville.
Le cimetière.
Il s’avança alors vers le mausolée familial.
ADONIS, pensant : Ah, mes petits Round.
Vous m'en aurez fait baver, bande de coquins !
Mmmh, va falloir agrandir tout ça, vous méritez mieux que ça.
ADONIS, pensant : James, mon abruti préféré !
C'est que tu me manques mon gros, on rigolait bien avec Lilith.
Alors que notre cher Adonis se remémorait tous les bons moments passés avec James et Lilith...
Il n'entendit pas entrer derrière lui.
JEUNE FEMME : Oh excusez-moi, je ne pensais pas qu'il y aurait quelqu'un à cette heure.
ADONIS : Hein ? Ah oui, euh, bah, faîtes comme vous voulez, j'allais partir.
JEUNE FEMME : J'me suis toujours demandée...
C'est toujours ouvert ici.
Les Round ne craignent pas les voleurs ?
ADONIS : Le premier qui me vole...
JEUNE FEMME : Vous ? Oh ! Je suis désolée !
Je ne vous avais pas reconnu.
ADONIS : Pas grave.
JEUNE FEMME : Je suppose que personne n'ose vous voler.
ADONIS : Sûrement.
JEUNE FEMME : J'espère que ça n'arrivera jamais, j'aime beaucoup venir ici.
ADONIS : Dans un mausolée ? Normal.
JEUNE FEMME : Haha, oui, mais je ne sais pas, voir "votre" oeuvre, c'est impressionnant.
Et triste à la fois.
Vous avez vécu tout ça.
Adonis ne répondit pas.
JEUNE FEMME : Désolée, je parle trop.
ADONIS : Un peu oui mais ça va, j'ai connu pire.
Regardez celui-là, il ne pouvait pas s'empêcher de parler.
Et de lui en plus.
Ce qui n'était pas un sujet très intéressant.
JEUNE FEMME, se mettant à rire : C'était votre frère, n'est-ce pas ?
ADONIS : Demi-frère.
Ma mère s'était remise en couple avec un crétin avec un prénom de crétin.
"Bob". Je vous laisse deviner de qui il a hérité.
La jeune femme se remit à rire de plus belle.
Adonis se savait drôle mais quand même.
Elle reprit finalement son souffle.
JEUNE FEMME : Oh, s'il vous plaît, dîtes m'en plus !
Sans broncher, Adonis continua de vanter les louanges de sa famille.
La belle Charlène, star de la chanson...
Lolly Racket, celle qu'il avait failli découper dans sa boîte à mystère...
Jade, la maman poule...
Pendant qu'Adonis continuait de discuter avec l'inconnue, Yumi rentrait de son concert.
Exténuée, elle espérait que Catelyn lui laisserait un peu de répit.
YUMI : Alors, ça s'est bien passé ?
Elle vous en a pas trop fait baver ?
JERRY : Non, elle est adorable !
Et tu vas pas le croire mais ta soeur ici présente lui a donné son biberon.
YUMI : Naaaaan ?!
YUKI : Et ouais les potes.
YUMI : C'est Adonis qui va être content.
Voyant Catelyn endormie, Yumi se changea et se coucha, sans bruits.
Le lendemain, chez Kyle.
BAELFIRE : Bon, j'ai passé la nuit derrière le télescope mais toujours aucun signe de leur part.
KYLE : Sois patient, ça ne se fait pas en une nuit.
Baelfire haussa les épaules et se tourna vers Lissandra.
Cette dernière avait été ravie d'être accueillie par les Round.
Elle s'était même prise d'amitié pour Arya, qu'elle aidait dans ses devoirs.
ARYA : Tu veux pas aller au parc après ?
LISSANDRA : Mh, je ne sais pas, j'évite de me montrer en public, j'ai peur de m'attirer des ennuis.
ARYA : Tout le monde est gentil avec Baelfire ici, tu crains rien.
LISSANDRA : Je sais mais je me suis enfuie tu sais ?
Et si on me reconnaît, je devrais partir.
ARYA : Alors, on jouera ici !
J'ai plein de jeux dans ma chambre !
Ainsi, une fois les devoirs terminés, elles montèrent à l'étage pour jouer ensemble.
KYLE : C'est dommage qu'elle doive rester enfermée ici.
J'aurais bien aimé l'inscrire au lycée.
BAELFIRE : C'est vrai.
Je regarderais pour des cours par correspondance.
Bon, je dois vous laisser, j'ai mon entretien pour le boulot.
KYLE : Ah, très bien, bonne chance mon grand.
Baelfire salua ses parents et monta pour dire au revoir aux filles.
BAELFIRE : Bon, je dois y aller les filles, je repasserais demain.
ARYA : À demain !
Lissandra se leva et se jeta dans les bras de Baelfire.
LISSANDRA : Merci encore, pour tout ce que tu fais.
Tu vas me manquer, à demain Bae.
Ce dernier, surpris, ne dit rien et s'en alla après ce câlin surprise.
Dernière édition par Merveilles le 2013-07-21, 22:28, édité 1 fois
Ça y est, Adonis a un petit moment nostalgie... Bah c'est l'âge qui le travaille. J'ai hâte de voir ce qui va se passer avec la jeune demoiselle blonde. (il en a marre des brunes ?
Lissounette, ne profite pas trop de la situation pour peloter Bae hein. Il est encore pur et innocent le pauvre p'tit chou. TT
Allez Yuki, fais-nous un descendent !
Yep, c'est qu'il est vieux mon p'tit Adonis, 'faudrait que je regarde tiens.
J'crois que sa relation avec Priscilla a plus de 150 jours.
'Tête pour ça qu'il... qu'il... Je dis rien.
Merci pour ton commentaire !
On se retrouve pour l'anniversaire de Catelyn, qui va enfin pouvoir se dégourdir les jambes !
Pour l’occasion, Yumi a emménagé un petit coin anniversaire dans le jardin.
YUMI : Alors ma belle, on va devenir une grande fille aujourd'hui !
Et Yuki, Jerry ainsi que Billy sont présents.
YUMI : Joyeux anniversaire Catelyn !
YUKI, JERRY, BILLY : Joyeux anniversaire !
La voilà, avec ses petites couettes.
On peut vraiment voir de qui elle tient maintenant, n'est-ce pas ?
Le portrait craché de son père !
Après avoir mangé le gâteau, Yumi emmena Catelyn à l'intérieur pour qu'elle puisse s'amuser avec ses nouveaux jouets.
Une futur musicienne, comme sa maman.
Dans le jardin...
YUMI : Merci encore d'être venu.
Elle est sûrement trop petite pour s'en souvenir mais ça compte beaucoup pour moi.
BILLY : Je te l'avais promis.
Quoi qu'il arrive, je la laisserais pas tomber.
Ni toi, d'ailleurs.
YUMI : 'Faudrait vraiment que je pense à remercier Yuki pour m'avoir forcé à sortir au parc le jour de notre rencontre.
BILLY : Ses chevilles vont exploser.
D'ailleurs, ça a l'air de bien marcher avec Jerry.
YUMI : Oui, c'est un mec bien en plus.
Il fera un très bon papa lui aussi.
BILLY : Très chère, vous me flattez.
Un peu après...
BAELFIRE : Salut toi !
Oh la la, qu'est-ce que t'es jolie !
Tiens ma puce, tonton Bae était au travail pendant ta fête mais il n'a pas oublié de te prendre un petit quelque chose.
CATELYN : Haaaa ! Nyaaaa apin apin !
BAELFIRE : J'en conviens que ça te plaît, hein ?
Alors que tout le monde était parti se mettre au lit depuis un bon moment déjà, Adonis était encore sur son ordinateur.
AMY : C'était la première fois ?
ADONIS : Oui, c'était vraiment étrange.
Cette sensation... De soif...
Enfin, je dois probablement t'ennuyer avec mes problèmes vampiriques.
AMY : Je serais partie me coucher il y a longtemps si c'était le cas.
ADONIS : La vache ! J'avais pas vu l'heure, tu ferais mieux d'aller te coucher.
AMY : Parlons encore, si tu le veux bien.
Tu m'as dit que Priscilla rentrait à 5 heures du matin.
ADONIS, pensant : C'est bien la première fois que je mens à Priscilla...
Le lendemain...
YUKI : Ecoutez, je suis tout à fait d'accord avec ce que vous me proposez mais je pense que ce contrat ne donnera rien.
À moins que vous me laissiez carte blanche.
Depuis peu, Yuki était devenue une figure importante dans son milieu.
Elle sait manier les mots et peut se montrer très persuasive.
D'ailleurs, elle croulait sous les contrats ces temps-ci.
YUKI : Et ouaaaaaaais ! Encore un ! Je suis vraiment trop forte !
T'entends ça chéri ?
JERRY : Oui ! Félicitations ma chérie, décidément, rien ne te résiste !
YUKI : N'est pas Round celui qui veut.
JERRY : Haha, il ne vous manque plus qu'une mascotte !
YUKI : Je suis sûre que ça t'irait très bien, un costume de mascotte.
JERRY : Hé !
Dis, ma chérie, j'ai quelque chose à te demander.
YUKI : Oui ?
JERRY : Voilà, ça peut paraître précipité mais je pense que c'est le bon moment.
YUKI : Je rêve ?
JERRY : Non, ce n'est pas un rêve ma chérie.
Yuki Round, me ferez-vous l'honneur de devenir ma femme ?
YUKI : OUI, OUI, bien sûr que oui !
YUKI : Oh mon dieu, elle est magnifique !
JERRY : Elle n'est pas aussi jolie que toi.
YUKI : Haaaan, t'es si adorable, viens là.
JERRY : Et qu'est-ce que tu penserais de fêter ça ?
YUKI : Hihihi, à quoi tu penses ?
Voilà à quoi Jerry pensait...
Le week-end était arrivé et Baelfire en avait profité pour passer chez ses parents et ainsi prendre des nouvelles de Lissandra.
LISSANDRA : Puisque je te dis qu'il m'a parlé ! En rêve !
Et il veut bien nous rencontrer !
BAELFIRE : Tu es sérieuse ? Je n'arrive pas à y croire.
C'est incroyable.
LISSANDRA : Oui, tu peux pas savoir à quel point je suis contente !
J'ai tant que questions à lui poser.
BAELFIRE : Il ne t'a rien dit de plus ?
LISSANDRA : Non, j'ai pourtant essayé de lui poser des questions mais il m'a dit de prendre mon mal en patience.
BAELFIRE : Et quand est-ce que doit se passer la rencontre ?
LISSANDRA : Non, il a été très flou.
Mais il m'a dit qu'il me recontacterait dès que possible, pour fixer un lieu et une date de rendez-vous.
BAELFIRE : Il n'y a pas qu'à attendre, donc.
LISSANDRA : Oui.
Au fait, Arya voulait passer la journée à la plage aujourd'hui, tu veux venir ?
BAELFIRE : Euh, je n'ai pas de maillot de bain sur moi.
LISSANDRA : C'est pas grave, tes parents veulent que qu'un adulte nous surveille.
BAELFIRE : Bon c'est d'accord.
Aussitôt dit, aussitôt fait.
Baelfire les accompagna donc à la plage et emprunta la canne à pêche à son père pour pêcher.
Lissandra, quant à elle, faisait bronzette tout en surveillant Arya qui jouait dans la sable.
LISSANDRA : Alors c'est bientôt ton anniversaire ?
T'as hâte de rentrer au lycée ?
ARYA : Hum, je sais pas trop, je suppose oui.
LISSANDRA : On a beaucoup plus de libertés adolescent.
ARYA : Peut-être mais pas autant que quand on est adulte.
Le dimanche, tout le monde se retrouva à la petite chapelle.
Pour le mariage.
Aussi précipité que la demande, Yuki et Jerry ne voulaient pas attendre.
Tous les Round n'ont pas pu être présents, voici quelques-uns des invités.
L'échange des alliances.
Félicitations aux jeunes mariés.
Devant préserver son nom de jeune fille pour la génération à venir, Jerry a pris le nom Round.
En bonus, quelques photos du mariage.
Jerry et Yuki qui dansent, tant bien que mal.
Ici Manu, assez perplexe devant les pas de danse de son petit frère Kyle.
Yu Xiang qui se déchaîne.
Tout le monde a l'air de bien s'amuser sur la piste de danse !
Et pour finir, quelques photos de Baelfire et Yumi qui, eux, ont géré leurs petits pas de danses.
Dernière édition par Merveilles le 2013-07-22, 21:59, édité 1 fois
Je me sens seule au moooooooonde.... Où qui sont les autres lecteurs ?
Oh mon Dieu, oh mon Dieu, oh mon Dieu... Il est un peu sado Jerry non ?
Sinon Cate est choupinette. Je trouve Yumi et Bae vraiment adorables durant leur petit slow.
Merci pour ton commentaire.
J'avoue que nous sommes un peu seules, allez les gens venez soutenir Lady !
Ouip, j'les ai matés durant tout leur slow, ils étaient trop chou.
HOMME : Bonjour, je suis l'agent Ariel Hudson.
J'aurais quelques questions à vous poser concernant l'affaire Glaza.
YUKI : Pile le jour de mon échographie.
ARIEL : Oui, veuillez accepter mes excuses madame Round mais je vous promets que je n'en aurai pas pour longtemps.
YUKI : Bon et bien, entrez, qu'est-ce que vous voulez que je vous dise de plus.
Revenons un peu en arrière avant de commencer cet interrogatoire...
Vous aurez probablement remarqué le ventre arrondi de notre chère héritière.
En effet, quelques jours après le mariage, Yuki se sentait nauséeuse.
C'était sans appel, elle était enceinte !
Et comme vous vous en doutez, elle était ravie de cette nouvelle.
YUKI : BORDEL ! FAÎTES DES GOSSES QU'IL DISAIT !
Evidemment, elle s'empressa de l'annoncer à celui qui l'attendait le plus : Adonis.
ADONIS : C'est quoi cette tenue ?
YUKI : Commence pas.
Tu vas être très fier de moi.
Je suis enceinte !
ADONIS : NAAAAAAAAAN ? QUI ÊTES-VOUS ET QU'AVEZ-VOUS FAIT DE YUKI ROUND ?
YUKI : Haha, très drôle, vraiment.
ADONIS : J'rigole, je suis fier de toi.
Jerry a sauté de joie en apprenant la nouvelle, je suppose ?
YUKI : Ouip, jusqu'au plafond.
ADONIS : Et un p'tit mec, hein !
YUKI : On verra, si t'es sage.
ADONIS : Je suis toujours sage, moi.
Retour au présent, dans la salle à manger, en compagnie de Yuki, de l'agent Hudson et de Priscilla, là par hasard.
ARIEL : N'est-il point possible de nous entretenir en privé ?
YUKI : Pfff, vous savez qui c'est au moins ?
ARIEL : Evidemment.
YUKI : Bah alors vous savez qu'elle le saura de toute façon tôt ou tard.
Et c'est pas vraiment une bonne idée de lui cacher des trucs.
PRISCILLA, buvant une gorgée : Vous devriez l'écouter, monsieur l'agent, cette petite a le don d'avoir toujours raison.
ARIEL : Ce n'est pas grave, je suppose que Madame Round ici présente n'a rien à cacher de toute façon.
YUKI : Exactement.
ARIEL : Bien. Commençons.
En rangeant des dossiers l'autre jour, je suis tombé sur l'affaire Glaza.
Non résolu comme vous le savez certainement. J'ai fouillé un peu et j'ai décidé de rouvrir l'enquête.
YUKI : Pour quoi faire ? Cet abruti est mort et il l'a bien mérité.
ARIEL : Vous ne devriez pas dire de telles choses, ça pourrait se retourner contre vous.
YUKI : Pffff, bon, qu'est-ce que vous voulez savoir ?
ARIEL : Que s'est-il passé exactement, ce jour-là ?
YUKI : ça remonte à loin déjà. Je suis allée le voir, prétextant faire une enquête de voisinage.
Il est devenu fou et a essayé de me tuer, c'est pas dans votre dossier ça ?
ARIEL : Pour votre sœur, c'est ça ? Elle entretenait une relation avec Madame Glaza ?
YUKI : Oui mais elle ne savait pas qu'elle était mariée.
Elle l'a su par hasard, en allant chez Anna un jour.
Ariel continua à poser quelques questions jusqu'à ce que Yuki lui demanda de partir, elle devait se préparer pour l'échographie.
Il prit congé et a, par la même occasion, donné sa carte avec son numéro, au cas où Yuki se souviendrait de quelque chose.
Avant de revenir chez nos Round préférés, sachez qu'Arya a fêté son anniversaire.
Et est devenue une jolie adolescente.
Elle ressemble à la fois à son père et à sa mère.
Et comme Yuki, elle a les yeux bleus turquoises de son grand-père, Samy Round.
Retour à la maison, Yumi s'occupe de sa fille.
YUMI : Allez, mange et après on ira faire une promenade, d'accord ?
CATELYN : D'accord !
Catelyn n'allait pas tarder à devenir une enfant et Yumi s'était parfaitement occupé de son éducation.
La petite avait appris à marcher, à faire sur le pot comme une grande et savait dire quelques mots.
Par contre, en ce qui concerne la nourriture, elle ne voit toujours pas d'utilité à cette chose étrange qu'est la fourchette !
YUMI : Allez ma grosse, tu as bien mangé, viens là.
Maman va se changer, d'accord ? Tu attends maman dans le couloir ?
Adonis Junior te surveillera.
CATELYN : Woof ! Woof !
Adonis Junior, ou plutôt Adonis Senior désormais, était effectivement dans le couloir.
Il avait reçu l'ordre de ne pas bouger de la part de Yumi même s'il n'avait pas compris pourquoi.
CATELYN : Chien ! Chien ! Adonis, woof !
ADONIS JUNIOR : Woof ?
Comme promis, Adonis Junior surveilla la petite Catelyn, sans le faire exprès.
Il se mit même à renifler la petite fille, se demandant comment c'était possible un être aussi petit.
Ce qui fit rire Catelyn.
Chose promise, chose due.
Une fois changée, Yumi prit la poussette et emmena Catelyn faire un tour.
Elles firent un petit tour et se retrouvèrent chez Kyle et Yu Xiang pour un petit goûter.
Le soir même...
BAELFIRE : Ne pouvait-il point nous donner rendez-vous au café du coin ? ça caille ici.
LISSANDRA : Ne sois pas stupide.
C'est déjà assez généreux de sa part de bien vouloir nous rencontrer.
BAELFIRE : Sûrement.
Tiens, justement, le voilà.
LISSANDRA : Ah ! Je suis tellement stressée que je ne vais pas savoir quoi lui dire.
Et en effet, arrivant dans un éclair bleu et orange, leur contact extra-terrestre apparut devant eux.
Lissandra ne savait plus où se mettre, elle espérait tant de cette rencontre !
ALIEN : Bonsoir à vous. Je m'appelle Zasarn Ti'Zuvajug.
Et j'ai répondu à votre appel.
LISSANDRA : Euh, je... Je...
ZASARN : Sois sans crainte, Lissandra.
Je suis ici en ami.
BAELFIRE : Comment vous connaissez son prénom ?
ZASARN : Nous savons tout sur vous, Baelfire.
Nous vous observons depuis votre naissance chez les humains.
Et je dois vous avouer que vous êtes un sujet de test particulièrement enrichissant.
BAELFIRE : Un... Un sujet de test ?
ZASARN : Ne vous énervez pas. Je peux lire en vous.
Et je remarque que votre jeune amie est soucieuse mais surtout avide de questions.
Ma chère, vous rêvez de voir notre monde.
Et oh... Votre connexion cérébrale avec Baelfire est incroyable.
LISSANDRA : Je... Vous...
ZASARN : Pas la peine de m'en dire davantage.
Vous m'avez fait venir pour que je vous emmène, n'est-ce pas ?
Cela est possible.
LISSANDRA : Vraiment ? Oh, j'aimerais tellement !
Bae, tu entends ça ?
ZASARN : Votre géniteur sera ravi de vous rencontrer.
LISSANDRA : Vous voulez dire, mon père ?
BAELFIRE : Ola, attendez, c'est trop gros, je sens qu'il y a anguille sous roche.
ZASARN : Vos capacités de déduction sont impressionnantes, Baelfire Round.
En effet, je ne vous ai pas tout dit.
Sachez que si vous m'accompagnez, il n'y a pas de retour possible.
BAELFIRE : Vous arrivez pourtant à aller et venir.
ZASARN : Très peu d'entre nous le peuvent.
LISSANDRA : Je, ça a l'air... Bae ! Tu te rends compte ! Et mon père !
ZASARN : Je peux vous laisser y réfléchir.
Je reviendrais même lieu même heure, dans deux jours.
Et sans un autre mot, Zasarn disparut comme il était venu.
Baelfire se tourna alors vers Lissandra, qui avait du mal à dissimuler son excitation.
BAELFIRE : Liss', je sais que ça a l'air grandiose mais tu ne sais rien de là-bas.
Et moi... J'ai ma famille, mes sœurs...
Je sais que tu n'as pas eu la même chance que moi mais je...
LISSANDRA : Pas la peine de te justifier, je comprends.
Alors je partirais seule.
Dernière édition par Merveilles le 2013-07-23, 21:08, édité 1 fois
Aaah j'suis là!
J'ai lu mais pas commenté. Je dis une chose:
Lissandra ne pars pas parce que je vole le fouet à Lady sinon et j'entre dans ton monde de pixels pour te fouetter.
(Lady, tu n'as rien lu du touut. C'est juste ton imagination =) )
Roh, ça fait une paye que j'ai pas commenté... Honte à moi...
Faut que Lissandra elle reste, les deux extra-terrestres iraient trop bien enseeeeeeeeeeeeemble.
C'est vrai qu'Arya est le portrait craché de ses deux parents. Je trouve ça drôle.
Adonis Junior-Senior est juste trop mignon, c'est trop chou quand il joue avec la petite. *w*
J'ai hâte de voir la tête du bébé. Et la réaction d'Adonis si c'est une fille.
Bref, je crois que j'ai fait le tour.
Merci pour vos commentaires, nous nous sentons moins seules !
(Même si Lady n'a pas encore commenté.
On se retrouve avec l'arrivée d'un nouveau membre dans la famille.
En effet, voici Daryl Round !
Adonis était très content, il l'a enfin eu son petit mec !
Et son potentiel futur héritier.
Cependant, bien que Daryl soit un adorable nouveau-né, Yuki a bien du mal à accepter sa nouvelle condition de maman.
YUKI : Bordel, jamais il s'arrête de pleurer ?
JERRY : Peut-être qu'il a faim.
Tu as vérifié sa couche ?
YUKI : Il a faim, il a fait dans sa couche...
Et puis quoi encore, 'faut que je chante une berceuse aussi ?
JERRY : C'est marrant que tu ne t'y retrouves pas alors que ta sœur a tout géré toute seule.
YUKI : ET ALLEZ, VAS-Y, REPROCHE-MOI DES TRUCS !
On l'a aidé Yumi avec son marmot, je te signale !
JERRY : Ne hurle pas devant le bébé.
Nous l'avons aidé, oui, enfin, JE l'ai aidé, pour être précis.
YUKI : Non mais je rêve ou quoi ?
T'insinues quoi ? J'ai jamais demandé à être dans leur stupide histoire de générations, moi !
Adonis m'a choisi, j'ai été très généreuse, il l'a son héritier !
JERRY : C'est ton fils et il va falloir apprendre à mieux t'en occuper.
YUKI : T'insinues que je m'en occupe pas bien ?
JERRY : Je...
YUKI : NON C'EST BON LAISSE TOMBER, JE ME CASSE, JE TE LAISSE AVEC LE PLEURNICHEUR DE SERVICE !
En parlant de Yumi, sachez que cette dernière a décidé de s'installer avec sa fille dans la maison en face de chez Kyle et Yu Xiang.
Huit personnes dans la demeure familiale, ça commençait à faire beaucoup !
Surtout avec une seule salle de bain.
Et puis, Yumi pourra confier Catelyn à ses grands-parents dès qu'elle en aura besoin.
D'ailleurs, la petite Catelyn est devenue enfant.
Bonjour l'école et les devoirs !
Alors que Yuki partait de la maison en claquant la porte, nous retrouvons non loin de là l'agent Ariel Hudson.
Toujours préoccupé par son affaire non élucidée, le voilà qu'il discute avec son supérieur.
ARIEL : Monsieur, je sens que j'approche du but.
J'ai une piste et je crois bien que c'est la bonne !
VOIX AU TÉLÉPHONE : Et qu'est-ce qui vous fais penser ça ?
ARIEL : Ecoutez ça. Un peu avant la disparation de Madame Glaza, Yuki Round se fait agresser par Monsieur Glaza.
Nous savons que sa sœur, Yumi Round, entretenait une liaison avec Madame Glaza.
VOIX AU TÉLÉPHONE : Où voulez-vous en venir ?
ARIEL : Attendez la suite.
Yuki Round était partie prendre des nouvelles de Madame Glaza, qui ne donnait plus de signe de vie à son amante, Yumi Round.
Elle se fait agresser parce qu'elle semble un peu trop curieuse aux yeux de Monsieur Glaza.
Il cherche à la faire taire. Pourquoi ?
VOIX AU TÉLÉPHONE : Peut-être n'avait-il pas envie que l'adultère de sa femme soit connu de tous.
Il s'est probablement énervé à cause de l'humiliation qu'il avait subi.
ARIEL : Peut-être mais voilà ma théorie.
Monsieur Glaza s'est chargé personnellement de sa femme, il a du apprendre sa liaison d'une façon ou d'une autre.
Cependant, il ne s'est pas suicidé.
Et j'ai remarqué un voyage surprise et pas du tout programmé de la part d'Adonis et Priscilla Round.
Drôle de coïncidence. De plus, en vérifiant leurs comptes bancaires, ils n'ont rien dépensé pendant cette période.
Bizarre quand on part en soit-disant vacances.
VOIX AU TÉLÉPHONE : Votre théorie est un peu farfelue mais elle tient debout.
Il va vous falloir des preuves solides, vous savez à qui vous avez affaire.
ARIEL : J'y travaille.
Et comme si Priscilla avait la capacité d'entendre ce qu'il se passait à l'autre bout de la ville, elle eût un sursaut.
PRISCILLA, pensante : Ce policier ne va pas lâcher l'affaire...
Et ce ne serait qu'attiser la flamme que de le faire disparaître.
Tout en faisant les cent pas, Priscilla semblait inquiète.
Et c'est bien la première fois que la jeune femme se sentait comme ça.
Ce n'était pourtant pas la première fois qu'elle avait affaire à la police.
On ne l'avait jamais inquiétée après la disparation de son ex-mari.
PRISCILLA, pensante : Hors de question que la réputation d'Adonis soit salie.
Ou pire, qu'il aille en prison.
C'était donc ça.
Adonis... Son merveilleux Adonis...
L'amour qu'elle lui portait était dérisoire et jamais elle ne laisserait quelque chose ou quelqu'un lui mettre des bâtons dans les roues.
PRISCILLA, pensante : Il ne réponds pas.
Ni à mes appels, ni à mes sms...
Il m'a dit qu'il passait la journée et la soirée avec ses coéquipiers, pour fêter leur victoire au championnat.
Mais je sens que ça urge, il faut absolument que je lui parle de cet agent Hudson.
Chez Kyle et Yu Xiang, les filles étaient devenues encore plus proches qu'avant.
L'âge, sans doute.
ARYA : Alors, de quoi tu voulais me parler ?
LISSANDRA : C'est à propos de Zasarn. Et de ma décision.
ARYA : Qu'est-ce qui t'embête ?
Tu m'avais l'air pourtant ravie de le suivre.
Tu parles sans cesse de voir ta planète et tu rêves d'y rencontrer ton père biologique.
LISSANDRA : Je sais oui, et j'en rêve toujours.
C'est la raison même de ma venue, ici, à Lucky Palms.
Mais pas seulement.
ARYA : Comment ça ?
LISSANDRA : Je voulais aussi rencontrer ton frère, j'espérais qu'il pourrait m'en apprendre davantage sur le monde dont nous venions.
Il ne savait pas grand-chose et pourtant il m'a aidé, ainsi que tes parents.
Je veux dire, ils me considèrent presque comme leur propre fille.
ARYA : Et moi, comme une sœur.
LISSANDRA : Je... Et... Ton frère...
Je veux dire... Baelfire...
J'ai l'impression que...
Non, oublie, c'est trop stupide.
ARYA : Tu peux tout me dire, Liss'.
Et tu sais très bien que je ne moquerais pas.
LISSANDRA, se levant : Tu es géniale, Arya.
Priscilla n'avait plus le temps de penser à tout ça.
De toute façon, elle ne savait pas quoi faire.
Elle partit donc, toujours pensive, travailler.
La maison était désormais incroyablement vide.
Il ne restait que Jerry et son fils devant la télé.
En rentrant, ce fût la première constatation de Baelfire.
BAELFIRE : Mais où est donc passé tout le monde ?
JERRY : Et bien, Priscilla vient juste de partir travailler.
Adonis est quelque part en train de faire la fête et Yuki, je ne sais pas.
BAELFIRE : Vous vous êtes disputés ?
JERRY : Rien de bien méchant, ne t'inquiète pas.
Ils discutèrent un moment, Baelfire s'amusa à faire rire son neveu puis l'heure arriva de coucher le petit.
JERRY : Bonne nuit mon chéri.
Ne t'inquiète pas pour tout à l'heure, je suis sûr que maman t'aime beaucoup.
La situation la dépasse, c'est tout.
Allez, fais de beaux rêves, bisous.
Dernière édition par Merveilles le 2013-07-27, 03:04, édité 3 fois
Ouai je vous ai manqué hein.
.... De quoi vous vous en foutez de moiiii ? Mais heeeeeu...
Yuki elle redevient égale à elle-même. Je le répète, Jerry est sado...
Ah j'aime bien le rebondissement de l'enquête ! Peut-être que Pripri va se sacrifier pour préserver Adonis, mmmm ? Bae est à moi surtout depuis que Manu est vieux. Non mais Lissandra, va rejoindre les tiens, c'est important... (bon ok je blague) (enfin à moitié)
Merci pour ton commentaire !
Personne ne se moque de toi, voyons, moi je suis toujours contente d'avoir ton commentaire.
Au fait, en parlant de Manu, sache que c'est bientôt la fin de votre idylle.
Yumi ayant déménagé, l'aménagement des chambres a été modifié.
L'ancienne chambre de Yumi devient celle de Baelfire.
Et l'ancienne chambre de ce dernier appartient désormais au potentiel futur héritier, Daryl.
Revenons à nos moutons et allons voir ce que trafiquent les Round.
De leur côté, Jerry et Yuki tentent de se réconcilier.
JERRY : Ce que je ne veux pas, c'est que Daryl en pâtisse.
Le pauvre petit n'a rien fait de mal.
YUKI : Je comprends. Et je m'excuse de mon comportement odieux de la dernière fois.
JERRY : Tu devrais aller lui faire un gros câlin pour te faire pardonner !
YUKI : Euh, oui, peut-être plus tard.
'Faut absolument que je raconte qui j'ai vu hier, totalement par hasard !
Yuki commença son récit.
Après sa dispute avec Jerry, il fallait qu'elle se change les idées.
Et comment se changer les idées quand on s'appelle Yuki Round ?
Aller boire un verre et danser jusqu'au bout de la nuit, pardi !
Alors qu'elle commençait à s'ennuyer un peu, quelqu'un l'interpella.
VOIX : Hé mademoiselle, je vous offre un verre ?
Yuki se retourna pour dire à cet énergumène d'aller voir ailleurs quand elle reconnut la personne qui lui avait parlé.
Elle ne put s'empêcher d'avoir une mine choquée.
YUKI : Noooooooooon ? J'y crois pas !
Si, c'était bien lui.
Cody.
Vous vous souvenez peut-être de lui, Yuki l'avait rencontré à l'université.
Elle s'était d'ailleurs prise d'amitié pour lui bien qu'il fasse partie des "rebelles".
Il n'avait pas changé.
Yuki se demanda alors ce qu'il pouvait bien faire ici, à Lucky Palms.
Retour au présent.
YUKI : Figure-toi qu'il a fait le tour du monde après avoir obtenu son diplôme.
Et en voyant Lucky Palms sur une carte, il s'est souvenu que c'était là où j'habitais !
JERRY, pas très enjoué par cette nouvelle : Ah oui ? Et pourquoi il n'est pas venu directement taper à notre porte ?
YUKI : Il est arrivé hier, il comptait venir me voir demain.
C'est génial, non ?
JERRY : Ben voyons.
YUKI : Hum. Tu pourrais être content pour moi, c'est un ami et je ne l'ai pas vu depuis longtemps.
De toute façon, que tu sois content ou pas, je lui ai dit qu'il pouvait venir dormir ici.
JERRY : Sans même m'en parler d'abord ?
YUKI : Je suis ici chez moi, à ce que je sache.
Ouch, ça n'était pas prêt de s'arranger cette histoire.
Espérons que ça se passe mieux entre Adonis et Priscilla.
PRISCILLA : Alors qu'est-ce qu'on fait ?
ADONIS : Rien, laisse-le s'amuser à se prendre pour Columbo, il trouvera rien.
PRISCILLA : Je n'en suis pas sûre, j'ai un mauvais pressentiment.
ADONIS : Pffff et c'est pour ça que tu m'ennuies ?
PRISCILLA, visiblement vexée : Je pensais que c'était important.
Je te fais juste part de mes préoccupations.
Tu sais ce qui arrivera s'il trouve quelque chose.
ADONIS : Et bien, puisque je te dis qu'il ne trouvera rien, tu peux arrêter d'être préoccupée.
Sur ce, je sors.
PRISCILLA : Où ça ?
ADONIS : ça y est, tu vas me fliquer toi aussi ?
Sans laisser Priscilla répondre, il sortit de la chambre.
Une fois dehors, il attrapa son téléphone pour envoyer le SMS suivant : "Même lieu, dans 15 minutes".
Adonis appela son chauffeur, s'engouffra dans sa limousine à l'abri du soleil qui commençait à lui brûler la peau.
Il fit un petit tour en ville pour s'assurer qu'il n'était pas suivi et s'arrêta finalement devant un petit hôtel.
Le même où Baelfire avait rencontré Lissandra pour la première fois.
Il se dirigea vers l'une des chambres et sans aucune hésitation, entra.
ADONIS : C'est moi.
VOIX : Je sais bien que c'est toi, gros bêta.
ADONIS : Sait-on jamais, tu pourrais être toute nue.
AMY : Avec toi dans les parages, ça ne devait pas tarder.
ADONIS : C'est pas faux.
AMY, se levant : Tu n'as pas l'air dans ton assiette, quelque chose ne va pas ?
ADONIS : Non, tout va bien.
Tu m'as manqué c'est tout.
Pour toute réponse, Amy lui donna un baiser.
Qu'Adonis lui rendit volontiers.
Éprouvait-il, ne serait-ce qu'une once de remord ?
Il semblait hypnotisé par la jolie blonde qui savait l'écouter, lui parler...
Et apparemment savoir quoi faire pour le réconforter.
Après avoir fait leurs petites affaires (et oui, les vêtements d'Amy n'ont pas fait long feu)...
AMY : L'enquête sur les Glaza ?
ADONIS : Oui, un agent est venu interroger Yuki.
Mais je ne sais pas ce qu'il espère trouver.
AMY : Peut-être qu'il a des nouveaux éléments.
Et puis, ce n'est pas si grave qu'on arrête le ou les meurtriers ?
On se sentirait plus en sécurité.
Adonis ne répondit pas.
C'était lui le meurtrier. Et c'était comme s'il venait à peine de le réaliser.
Et avec ce qu'il s'était passé avec Yuki, il se sentait... dangereux.
Pouvait-il faire du mal à ses proches ou à Amy sans s'en rendre compte ?
AMY : J'ai dit quelque chose de mal ?
ADONIS : Hein, non, du tout, je me suis juste perdu dans mes pensées.
AMY : Et à quoi pensais-tu ?
ADONIS : À toi.
ADONIS : Dis, tu sais que je ne te ferai jamais de mal, hein ?
AMY : Bien sûr, pourquoi en serait-il autrement ?
ADONIS : Pour rien.
Oublie ça et profitons de notre dernier quart d'heure.
AMY : Avec plaisir.
Pendant qu'Adonis semble prendre du bon temps, passons voir comment se porte Yumi.
Ne travaillant pas aujourd'hui, Billy en a profité pour venir passer du temps avec sa fille.
Et se faire écraser par cette dernière à la console.
BILLY : Allez, avoue que tu triches petite coquine !
CATELYN : Hihi, non, je suis juste trop forte !
BILLY : T'as raison, j'abdique.
Sinon je vais encore me prendre une raclée.
Tu devrais passer de temps dans tes leçons que sur tes jeux, ma p'tite.
CATELYN : Maman dit que je peux jouer autant que je veux du moment que je ramène des bonnes notes.
Et je suis la première dans ma classe !
BILLY : Je suis fier de toi. Mais dis-toi qu'il n'y a pas que les jeux dans la vie.
CATELYN : Papa, je peux te poser une question ?
BILLY : Oui ?
CATELYN : Pourquoi tu vis pas ici avec maman et moi ?
BILLY : Parce que j'ai un déjà un chez-moi, ma chérie.
CATELYN : Mais... Vous vous aimez pas avec maman ?
BILLY : Sache que j'aime beaucoup ta mère mais pas comme tu le conçois.
Nous sommes de très bons amis. Et je ne vous abandonnerais jamais.
Tu comprends où je veux en venir ?
CATELYN : Non ! C'est nul ! Vous êtes nuls tous les deux !
BILLY : Ma puce ! Attends !
Aïe, la soirée s'avérait difficile.
Catelyn s'était enfermée dans sa chambre, refusant toute communication.
Sa maman, désamparée, était réconfortée tant bien que mal par Billy, qui lui expliqua qu'il lui fallait du temps pour comprendre.
Chez les Hudson, Ariel allait se mettre au lit.
ÉPOUSE D'ARIEL : Lâche ce téléphone, tu veux ?
Et viens te coucher, mon cœur.
ARIEL : Oui, une seconde... Ah voilà.
Ariel avait reçu le SMS suivant : "J'approche du but. Ce n'est qu'une affaire de quelques jours désormais." Signé A.
ÉPOUSE D'ARIEL : Encore et toujours cette même affaire, hein ?
ARIEL : Oui, tu sais bien que je ne lâche rien avant d'avoir trouvé.
ÉPOUSE D'ARIEL : J'espère que tu trouveras vite, alors.
Tu ne vis que pour ça on dirait !
La nuit tombait et le second rendez-vous pris avec Zasarn approchait.
Baelfire et Lissandra s'étaient rendus à l'endroit habituel.
Ils ne se parlaient pas et un silence de mort régnait dans le petit parc.
Baelfire n'avait pas avalé la décision de Lissandra qui était de partir avec Zasarn.
Cette dernière, de son côté, était en pleine réflexion.
Comme la première fois, Zasarn apparut devant eux.
ZASARN : Bonsoir à vous.
Je reviens, comme prévu, pour connaître votre décision quant à la proposition que je vous avais énoncé lors de notre première rencontre.
Baelfire fut le premier à prendre la parole.
BAELFIRE : Je n'ai pas changé d'avis, je reste.
Je n'abandonnerais pas ma famille pour une autre qui m'a abandonné sur une autre planète comme un vulgaire sujet de test.
ZASARN : Vous êtes libres de vos choix et je n'ai rien à y redire.
Décision validée.
Qu'en est-il pour vous, jeune Lissandra ?
Baelfire, considérant le fait qu'il n'avait plus rien à faire là et ne voulant pas passer par la case des adieux, commença à s'éloigner.
LISSANDRA : Je...
ZASARN : Je ne peux pas rester ici indéfiniment, il va falloir prendre une décision.
Lissandra regardait Baelfire partir... Elle sentait que son cerveau allait exploser.
Alors que son regard se perdait dans le vide, elle repensa à la suite de la conversation qu'elle avait eu avec Arya.
LISSANDRA : Tu es géniale, Arya.
ARYA : Je sais, je sais.
Plus sérieusement, fais-moi part de tes impressions.
LISSANDRA : J'ai la forte impression que... Ton frère et moi... Nous sommes liés.
D'une façon ou d'une autre, je ne sais pas encore.
ARYA : Et c'est ce qui t'empêche de partir rejoindre les tiens ?
LISSANDRA : Oui. C'est plus fort que moi, ça me donne même mal à la tête.
ARYA : Est-ce que je peux te donner mon avis ?
LISSANDRA : Bien sûr.
ARYA : Je pense que si ton instinct ou quoi que ce soit t'empêche de partir.
Et que tu sens que Baelfire a un rôle important à jouer te concernant...
Alors tu dois rester.
Tu as trouvé ta famille, Lissandra.
Ce ne sont pas ceux qui t'ont élevé ni même mes parents ou moi-même, c'est Bae.
Et tu ne peux pas l'abandonner.
Lissandra ne répondit pas et prit le temps pour réfléchir à ce qu'Arya avait dit.
Elle avait raison, elle ne pouvait PAS l'abandonner, pas après tout ça.
Pas après cette impression de lien.
Un lien fort, un lien qu'il ne fallait pas briser.
Retour au présent.
Lissandra n'avait plus beaucoup de temps, il lui fallait donner une réponse.
Le temps passait au ralenti, Baelfire s'éloignait de plus en plus.
Elle ferma les yeux, elle ne savait ni quoi dire ni quoi faire.
Finalement, sa voix résonna dans l'obscurité, elle hurlait.
LISSANDRA : JE RESTE ! BAE, JE RESTE ! JE RESTE POUR TOI !
Elle abandonna Zasarn dans le parc, elle courra jusqu'à Baelfire et lui attrapa le bras, elle criait, encore et encore.
Les larmes étaient sur le point de couler quand Bae dédaigna enfin se retourner.
Il la regarda dans les yeux.
Voyant que Lissandra était sur le point de pleurer, il passa sa main sur sa joue.
Ils s'enlacèrent, sans un mot.
Dernière édition par Merveilles le 2013-08-22, 19:02, édité 2 fois
Super épsidoe comme d'hab! :DTôt ou tard Adonis va finir par avoir chaud aux fesses avec ses histoires (enfin façon de parler ). Sinon pour Bae j'en connais une qui ne va pas être contente ^^
Merci pour ces deux derniers épisodes . Hâte de voir ce que va devenir Daryl.
Wéééé, Lissandra elle reeeeeste !
Hum. Bon sinon, j'ai un mauvais pressentiment pour Adonis et Priscilla. C'est le début de la fin, mais j'en connais une qui va pas rester sur un échec. A suivre donc.
Rah la méchante, bah je commenterai plus jamais, na.
@Merveilles a écrit:
Au fait, en parlant de Manu, sache que c'est bientôt la fin de votre idylle.
Mon cœur saigne.
Amy, je sais que tu n'es qu'une sale traitresse qui veut faire cracher le morceau à Adonis. Limite je commence à aimer Pripri... (enfin, seulement s'il elle castre Adonis histoire de lui montrer qui c'est qui commande)
Ah ben Cody, je me disais que t'avais était trop vite écarté. Toi en même temps, tu vas bien la recadrer, la Yuki.
On va avoir une invasion d'alien roux.
De retour !
J'aime beaucoup ce suites ! Adonis est un vilain cachottier, je suit contente pour Bae et Lissandra, les enfants sot tous craquants.
Je me disais bien que Cody devait revenir à un moment donné !
La suite !!!
Quand les gens me demanderont plus tard quels sont les souvenirs que j'ai de mon enfance;
je leur répondrais comme chacun "oh, je me rappelle avoir mâchouillé des heures entières cette peluche-ci ou ce nounours-là".
Je me souviens aussi avoir appris à marcher, bien que ce soit flou ou alors avoir baragouiné quelques mots à l'égard du chien.
Malheureusement, il n'a jamais rien compris à ce que je lui racontais.
Et pourtant, j'en avais des choses à dire !
Sans le savoir, j'allais grandir dans une famille plus riche que Crésus et aussi célèbre que la plus grande star du rock au monde.
Quoi que, cette star du rock je l'appelais "tata" quand ma bouche me permettait d'articuler correctement.
Mes parents ont décidé de m'appeler Daryl et bien qu'ils soient mariés, je garde le prestigieux nom de ma mère : Daryl Round.
Un gros poids s'abattait alors sur mes épaules, j'étais l'héritier jusqu'à ce que j'aie une petite sœur ou un petit frère.
Cependant, ça ne semblait pas être dans les projets de ma génitrice, qui avait du prendre sur elle afin de me concevoir.
La maternité, ce n'était pas son truc.
Pour ça, je pouvais toujours compter sur mon père qui s'occupait de moi.
Il faisait en sorte que je reçoive une bonne éducation, que je dise "s'il te plaît"; "merci" et surtout, pas de gros mots.
Il n'y a pas grand chose à faire quand on est un bambin, à part peut-être observer les "grands".
Et les "grands" font parfois des choses dont la logique m'échappait.
Je les voyais aller et venir, passant d'une action à une autre, se disputant parfois à propos du programme télé du soir.
Je voyais tout, j'entendais tout, j'étais devenu le témoin principal de la déchéance Roundesque.
YUKI : Si tu pars, il reste avec moi.
JERRY : Tu ne pourras pas m'empêcher de le voir.
YUKI : Bien sûr que non mais j'ai besoin de lui.
JERRY : Pour l'honneur, hein ?
Quelle supplice de ne pas pouvoir agir, hurler et dire "est-ce que vous vous rendez compte de ce que vous dîtes/faîtes ?".
Tout le monde se déchirait dans son coin et le seul qui était encore capable de m'apaiser était mon tonton, Baelfire.
BAELFIRE : Tu vois, Daryl, tout ça, plus tard, ce sera à toi.
Et il ne faut pas prendre ça à la légère, il va falloir être fort, devoir faire des choix, des compromis, parfois même des sacrifices.
Tu sais que j'aime ta mère mais je ne la comprends plus, elle a toujours été comme ça mais... J'espérais que t'avoir lui ouvrirait les yeux.
Il ne se rendait pas compte qu'il me déprimait plus qu'autre chose mais je ne lui en voulais pas.
À chaque fois, il me prenait dans ses bras et m'éloignait des cris, des bagarres, des insultes.
Il m'emmenait dans le jardin et parfois même avant de me coucher, nous admirions les étoiles ensemble.
BAELFIRE : C'est là d'où je viens. Tout là-haut, dans l'espace, entre les étoiles, quelque part.
Mais j'ai décidé de rester ici, avec vous et avec toi.
La famille, Daryl, c'est quelque chose qui n'a pas de prix, il ne faut jamais l'abandonner.
Il me regardait comme si je pouvais lui donner une réponse concrète.
BAELFIRE : Tu es encore un peu jeune pour comprendre mon baratin mais ne t'inquiète pas, je me ferais un plaisir de t'embêter avec ça toute ta vie.
C'est réjouissant.
La famille, la famille...
Si elle est si importante, pourquoi est-ce que les "grands" faisaient tout pour qu'elle se détruise en mille morceaux ?
J'avais l'impression de vivre avec des enfants emprisonnés dans des corps d'adultes.
Bientôt, ils ne se souciaient plus que de leurs problèmes et j'étais devenu invisible.
Ce n'était pas plus mal, je pouvais assister à leur chute au premier rang.
Mais au bout d'une demi-heure, j'en avais déjà marre, c'est ce qu'ils se répétaient encore et encore, toujours les mêmes choses.
Ne pouvaient-ils pas régler le problème une bonne fois pour toutes ?
La maison me paraissait immense, je vivais dans un manoir ou quelque chose comme ça.
Une grande famille, une grande maison.
Et tellement de choses à attraper, à mâchouiller ou à casser.
S'il y a bien une pièce dans laquelle j'étais interdit d'entrer, c'était celle-ci.
Je ne savais pas ce qu'il y avait derrière cette porte et on ne me l'avait jamais précisé.
Y avait-il de la vie là-derrière ? Ou pire, des corps entassés dans un réfrigérateur ?
En tout cas, ça restait ma première préoccupation.
J'étais en mission et elle consistait à découvrir qui/quoi se cachait derrière cette porte.
Dernière édition par Merveilles le 2013-08-24, 23:53, édité 3 fois